LE LIEN
Calendrier Général - La Cinémathèque française
www.cinematheque.fr/fr/calendrier-general.html
Du lundi au samedi de 12h à 19h. Ouvert le
dimanche de 10h à 20h. Fermeture les mardis, le 25 décembre, le 1er janvier et le 1er mai. Entrée libre les dimanches ...
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Bonjour à toutes et tous.
Suite à notre message du 30 mars, auquel nous avons eu peu de réponses, le film qui a eu la préférence est
ABYSS choisi par 3 personnes.Si parmi vous d'autres personnes sont intéressées merci de nous en informer.
La séance est à 14h30 et nous vous donnons rendez-vous à 13h50 car le samedi nous pourrions avoir beaucoup d'amateurs. Le coût sera de 4€.
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samedi 13 avril 2024, 14h30 Salle Henri Langlois - Abyss The Abyss James
Cameron
États-Unis / 1989 / 171 min / DCP / VOSTF / Version longue
Avec Ed Harris, Mary Elizabeth Mastrantonio, Michael Biehn.
Budget considérable, innovations technologiques, effets spéciaux enchanteurs : Cameron, au sommet à Hollywood après Terminator et Aliens, déploie tout son génie dans un huis clos à plus de 7 000 mètres de fond. L'équipage d'une plateforme de forage est envoyé en mission de sauvetage auprès d'un sous-marin nucléaire en perdition au bord d'un abysse. Un blockbuster puissant et poétique, qui convoque Kubrick et 2001, explore les peurs primales et fustige la bêtise humaine. Un sommet de science-fiction, pour une rencontre du troisième type en apnée.
Dialogue avec Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis - Animé par Bernard Benoliel 60 min
JAMES CAMERON
Samedi 27Avril 2024 à la CINEMATHEQUE
Rendez-vous devant l'entrée à 14H45
51 rue de Bercy PARIS 12ème
Métro Bercy Lignes › 6 14
Bus › 24 64 87
Billet 5 euros ( Subvention environ 50% du Tarif normal 12€) Règlement sur place
Et pourquoi pas, après l'exposition aller prendre un pot dans une brasserie alentour.
Vous pourrez découvrir ou revoir ses films :
Rétrospective du 4 avril au 26 mai 2024
( voir détail du calendrier en fichier joint ).
Limite d'inscription souhaitée le 12 Avril 2024
A bientôt
L'Equipe Ciné-Club
Si on retrouvait à la Cinémathèque Lundi 25 Mars 2019
Rendez-vous à 14H10
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
dans le cadre du "Festival toute la mémoire du monde 2019 "
Rétrospective Jerzy SKOLIMOWSKI
pour voir son film :
Jerzy Skolimowski
Avec Jerzy Skolimowski, Joanna Szczerbic, Tadeusz Łomnicki, Adam Hanuszkiewicz.
Cinq anciens étudiants en médecine du début des années 1950 se réunissent une dizaine d'années plus tard pour une soirée amicale à l'invitation de l'un deux, devenu modeste médecin de campagne. Ses condisciples eux ont réussi leur carrière : luxueux cabinets urbains, voitures, .
précédé d'un court-métrage
Jerzy Skolimowski
Avec Zdzisław Leśniak, Elżbieta Czyżewska.
Au son d'un vieux gramophone, cinq jeunes rejouent à leur manière Hamlet, la célèbre pièce de Shakespeare. Peu à peu, la folie la plus totale finit par tous les ensorceler.
Merci de nous prévenir si possible la veille ( mail ou SMS ) et d’être présent 20 minutes avant l'heure de la séance de 14H30
Daniel 06 60 .....
Nous vous proposons de nous retrouver :
Samedi 6 octobre à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir Notre mariage de Valeria Sarmiento
France, Portugal / 1984 / 100 min
D'après le roman Mi boda contigo de Corín Tellado.
Avec Nadège Clair, Nicolas Silberg, Jean-Pierre Teilhade, Maud Rayer.
Synopsis : Lola a une santé fragile mais Salvador, son père, pauvre et veuf, ne peut s'occuper d'elle et la cède à ses voisins, Lorenzo et Marcelina. Lorsque Lola, devenue une resplendissante jeune femme, se retrouve seule avec Lorenzo, les voisins commencent à jaser. C'est alors qu'elle lui propose de se marier.
RENDEZ-VOUS A 14h00 – SEANCE A 14H30
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone car nous devons prendre les billets par avance (et d’être présents à l’heure
coût 4,00€.
A partir de 14h15 vous devrez prendre vos billets individuellement.
Jusqu'au dernier moment vous pouvez nous joindre au :
06 82 (Danielle) ou 06 15 (Jean-Jacques)
Biographie de Valeria Sarmiento
Valeria Sarmiento a d'abord fait des études de philosophie puis de cinéma au Chili avant de tourner un premier film documentaire en 1972 Un sueño como de colores. Le coup d'état du général Pinochet en 1973 l'oblige à quitter son pays pour s'installer en France. Chef monteuse pour différents cinéastes (dont son époux Raoul Ruiz), elle continue à réaliser documentaires et courts-métrages. Elle tourne son premier long Notre mariage en 1984 et obtient le Grand Prix du Festival de San Sebastian. Son film suivant Amelia Lopez O'Neil est même en compétition officielle à Berlin en 1991. Elle a tourné depuis trois films dont Elle (1994) et Rosa la Chine (2002) dans lesquels ses réflexions sur le couple et les drames qui peuvent en découler continuent à nourrir le récit.
Pour continuer avec Valéria Sarmiento nous vous proposons de nous retrouver :
Dimanche 7 octobre à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir Les lignes de Wellington
France Portugal / 2012 / 146 mn,
Avec Nuno Lopes (Francisco Xavier) , Soraia Chaves (Martírio) , Marisa Paredes (Filipa Sanches) ...
Synopsis : En septembre 1810, les troupes de Napoléon Bonaparte envahissent le Portugal, mais le maréchal Masséna perd la bataille de Buçaco. Contre toute attente, les armées portugaise et britannique, dirigées par le général Wellington, battent en retraite. Le général a, en effet, élaboré une stratégie afin d'attirer les troupes impériales à Torres Vedras, où il a fait construire des lignes de fortifications infranchissables. Il prive, par ailleurs, les Français de tout approvisionnement. Cette manoeuvre militaire, associée à une politique de la terre brûlée, jette alors la population sur les routes, provoquant un gigantesque exode, civils et soldats côte à côte...
Critique du 07/12/2013
La résistance des Portugais — alliés aux Britanniques — face à l'armée française du maréchal Masséna, voici une page d'histoire méconnue, marquée par la stratégie du général Wellington. Ce dernier a décidé une retraite vers le sud, en laissant des terres brûlées derrière lui. Objectif : épuiser les Français et les attirer dans la souricière de Torres Vedras. Le film est une longue marche à travers le pays. De plus en plus captivante, parce que la progression géographique est aussi un voyage dans le temps, qui réveille des souvenirs, suscite la douleur de l'exil comme l'espérance d'un retour. Une myriade de petites histoires s'écrivent à l'intérieur de la grande. A travers la colonne de soldats et de civils portugais, des personnages émergent, certains disparaissent, d'autres reviennent au gré d'un récit soutenu par plusieurs voix off. La femme — fait rare dans un film de guerre — y joue un rôle aussi décisif que l'homme, qu'elle soit veuve, prostituée ou religieuse. Elle prend l'initiative, fait preuve de cran et de dignité.
Le film témoigne d'un classicisme, d'un art de l'esquisse et de la notation proches du carnet de guerre. Une simplicité formelle pour un fond complexe. Dans ce monde, déserteurs, espions, profiteurs pullulent, et les libérateurs peuvent être des envahisseurs. Le voyage nous mène aux portes de la folie et de la mort. Là où toute victoire a un goût terrible d'amertume. — Jacques Morice (Télérama)
RENDEZ-VOUS A 16h45 – SEANCE A 17H15
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone car nous devons prendre les billets par avance (et d’être présents à l’heure
Coût 4,00€.
A partir de 17h00 vous devrez prendre vos billets individuellement.
Jusqu'au dernier moment vous pouvez nous joindre au :
06 82 (Danielle) ou 06 (Jean-Jacques)
Bonjour à tous.
Nous vous proposons de nous retrouver :
Lundi 4 juin 2018 à la CINEMATHEQUE FRANCAISE
51 rue de Bercy (12ème) Mo Bercy
pour voir «Sans soleil» film réalisé
par Chris Marker (1982) 104 mn
Avec Arielle Dombale, Florence Delay, Arielle Dombasle, Riyoko Ikeda
Synopsis
Une réflexion en images sur divers pays, de l'Islande à la Guinée-Bissau, en passant par le Japon.
Des lettres d’un caméraman free-lance sont lues par une femme inconnue. Deux pays ont particulièrement son attention : le Japon moderne et la Guinée-Bissau après sa révolution manquée. Il s’interroge sur cette représentation du monde. Quelles images en garder ? « Ce film ne raconte pas d’histoire, mais traite seulement des anecdotes, des faits minuscules, des métamorphoses d’objets, de la divinité des chats et des jeux vidéo, pour en faire un collage lyrique ». Pierre Legendre
Critique
Qu'est-ce que Sans soleil, le film signé par Chris Marker en 1983 ? Des images, des sons, des musiques, un essai cinématographique avec un texte, en forme de lettres, dit par Florence Delay. Ce n'est pas un documentaire, ni une fiction, sans aucun doute, même s'il doit aux deux quelque chose Sans soleil est un poème cinématographique, un film, à n'en pas douter, et parmi les plus beaux de Chris Marker. Non pas réalisé, mais composé et monté par lui, comme indiqué au générique. France Culture
Rendez-vous à 20h10, séance à 20h30 (coût 4,00 euros)
Merci de nous faire part de votre participation par mail et jusqu'au dernier moment au : 06 (Jean-Jacques Tardy) 06 (Danielle)
ou Henri 06
Bonjour,
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Nous vous donnons
rendez-vous
Dimanche 8 Avril 2018
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51 rue de Bercy
75012 Paris
Métro Bercy Lignes
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CHOISISSEZ VOTRE FILM , soit :
Avec Robert Donat, Madeleine Carroll, Lucie Mannheim.
Richard Hannay accepte d'héberger pour la nuit une inconnue qui prétend être poursuivie par une société secrète internationale sur le point de faire sortir d'Angleterre un document précieux. La jeune femme est poignardée dans la nuit.
OU
Avec Josette Day, Jean Marais, Marcel André.
Pour l'offrir à sa fille, le père de la Belle cueille sans le savoir une rose appartenant au jardin de la Bête, qui s'en offense. Afin de sauver son père, la Belle accepte de partir vivre au château de la Bête.
Merci de nous prévenir impérativement la veille et de nous indiquer votre choix de film ( Billet à 4 € )
Nous vous attendons 20 minutes avant l'heure de la séance.
AMICALEMENT
L'EQUIPE CINE-CLUB
Bonjour,
Un engin extraterrestre de forme discoïde fait sensation en atterrissant en plein centre de Washington. Il est immédiatement entouré d'un cordon militaire et d'une foule de badauds. Le pilote, Klaatu, sort et annonce qu'il vient en paix. Mais un soldat perd son sang-froid, tire et le blesse au bras. Apparaît alors le robot humanoïde Gort, qui émet un rayon désintégrateur annihilant les armes déployées tout autour.
Klaatu, blessé, est emmené dans un hôpital où il est en pratique prisonnier. Sa guérison ultra-rapide stupéfie les médecins. Pendant ce temps, les militaires tentent en vain de démonter ou neutraliser la soucoupe volante de Klaatu et le robot Gort, qui s'avèrent indestructibles, rebelles à tous les outils existants. Klaatu demande à rencontrer les chefs d'État terriens afin d'assurer la paix dans l'univers. Mais constatant l'impossibilité politique d'organiser une réunion de tous les chefs d'État, il s'évade, habillé d'un costume civil qu'il a dérobé au passage et qui porte une étiquette de nettoyage au nom de Carpenter : il décide d'endosser cette identité.
Le soi-disant M. Carpenter se rend en ville, loue une chambre dans une pension de famille où il ne tarde pas à sympathiser avec une autre locataire, Helen, jeune veuve de guerre, et avec son fils Bobby. Il voit aussi que radios et télévisions entretiennent l'hystérie contre le terrifiant « monstre de l'espace » qu'il est censé être. À défaut de pouvoir convaincre les responsables politiques, il décide les jours suivants de s'adresser aux plus grands scientifiques terriens afin de leur exprimer l'inquiétude qu'éprouvent les civilisations avancées des planètes habitées lointaines devant l'évolution de la Terre, en proie à des pulsions agressives et destructrices. Il prend ainsi contact avec le professeur Barnhardt, qui réside justement à Washington, lui dévoile sa vraie identité, l'avertit que l'accumulation des armes atomiques sur Terre pourrait inciter les extraterrestres à prendre les devants pour éliminer une source potentielle de danger. Barnhardt est d'accord pour relayer le message auprès de ses collègues, mais suggère à Klaatu/Carpenter de donner une preuve tangible de ses capacités techniques pour se faire écouter.
Entre-temps, Helen, son fiancé Tom et le petit Bobby, d'abord incrédules, voient s'additionner les indices qui montrent que leur ami « Carpenter » est en fait l'extraterrestre contre lequel la chasse à l'homme fait rage. Klaatu rend visite à Helen à son travail, la prend à part dans un ascenseur qui stoppe brusquement : il lui déclare qu'il a fait en sorte que tous les appareils électriques de la planète cessent de fonctionner durant une demi-heure (sauf là où il y aurait danger vital, comme dans les hôpitaux ou les avions). Le monde entier s'est arrêté !
Tom dénonce Klaatu aux autorités. Helen, outrée de cette trahison et des mobiles égoïstes de Tom, rompt avec lui. Avec Klaatu, elle prend une voiture pour retrouver le professeur Barnhardt. Durant le trajet à travers Washington en état de siège, Klaatu dit à Helen que s'il lui arrive malheur, elle devra aller voir le robot Gort pour lui dire la formule « Klaatu barada nikto ».
Une patrouille abat Klaatu. Helen fonce voir Gort, toujours immobile devant la soucoupe volante, prononce le mot de passe. Le robot la met à l'abri à l'intérieur du vaisseau puis va récupérer le corps de Klaatu, auquel il rend la vie — mais provisoirement seulement, explique‑t‑il à Helen.
Klaatu adresse aux scientifiques rassemblés devant sa soucoupe volante le message qu'il était venu délivrer, puis décolle.
Dans l'attente d'un train retardé, le docteur Sokichi Hara se remémore ses années de jeunesse : il songe à Osen, la geisha qui, jadis, l'avait recueilli et l'avait sauvé d'un suicide. Osen, honteusement exploitée par une bande de trafiquants, avait pu courageusement rompre avec ceux-ci, puis se consacrer à Sokichi, lui permettant de manger à sa faim et de poursuivre des études en médecine. Elle estimait ainsi combler les vœux de la grand-mère du jeune homme dont elle croyait être la réincarnation. Mais, un jour, accusée de vol et de prostitution, Osen fut arrêtée. Après des adieux déchirants, elle transmit à Okichi une cigogne en papier qu'elle sortit de son kimono. Profondément ému, le jeune homme fut, à cet instant-là, renversé par l'automobile d'un de ses enseignants qui, pris de compassion, l'aida et le protégea. Les pensées du médecin sont maintenant interrompues par l'arrivée du train. Au même moment, il est appelé pour soigner en urgence une passagère évanouie. Il reconnaît avec stupéfaction Osen. Transférée dans un hôpital, celle-ci, traumatisée et apathique, ne reconnaît plus personne et lorsqu'elle sort de son mutisme, elle hurle que les hommes so
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Bonjour à tous,
Nous vous proposons une séance à la cinémathèque lundi 13 Novembre à 17h pour le film:
MANON de Henri-Georges Clouzot 1948 100mn
d'après l'Abbé Prévost avec: Cécile Aubry, Michel Auclair, Serge Reggiani
Par Pierre Murat
| Genre : romantisme noir.
Voilà une modernisation réussie (à l’inverse de celle de Jean Aurel, quelques années plus tard) du roman de l’abbé Prévost. On est en 1944, en plein marché noir. Desgrieux est un jeune FFI et Manon, qui aime le luxe, fréquente les maisons closes.
On retrouve la noirceur de Clouzot, sa fascination-répulsion pour Manon, petit animal doué pour le plaisir. Cécile Aubry, qu’il giflera beaucoup sur le tournage, est le double de Bardot
dans La Vérité, qu’il giflera aussi,
mais qui, elle, lui rendra coup pour coup. La scène dans le désert, où Michel Auclair traîne sur son épaule une Manon agonisante, est caractéristique du cinéma de l’auteur. Et de
l’époque.
Rendez-vous à 16h40.
Merci de me confirmer impérativement votre présence avant dimanche par fil D'Edith;
Nous vous proposons de nous retrouver :
Dimanche 29 octobre 2017 à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir dans le cadre de la rétrospective Luchino Visconti
LES DAMNES
Durée 2h30 - 1969
Nationalité : Italie - Allemagne - Suisse
Avec Dirk Bogarde (Friedrich Bruckmann) , Ingrid Thulin (la baronne Sophie von Essenbeck) , Helmut Berger (Martin von Essenbeck) ...
Synopsis
Le 27 février 1933, dans une ville de la Ruhr, la famille Essenbeck célèbre l'anniversaire du vieux baron Joachim, chef de la dynastie et maître des aciéries qui ont fait la prospérité de toute la famille et qui ont rendu son nom célèbre. Sa fille, la baronne Sophie, veuve de guerre et mère de Martin, un jeune homme pervers, est la maîtresse de Friedrich Bruckmann, le directeur des usines. Dans la soirée tombe la nouvelle de l'incendie du Reichstag à Berlin. Les nazis vont désormais concentrer tous les pouvoirs dans leurs mains. Bruckmann choisit de se rallier aux nouveaux maîtres, contrairement à Herbert Thalman, un libéral hostile à Hitler...
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone car nous devons prendre les billets par avance (et d’être présent à 17h séance à 17h30) – coût 4,00€. A partir de 17h15 vous devrez prendre vos billets individuellement.
Jusqu'au dernier moment vous pouvez nous joindre au :
06 (Danielle) ou 06 (Henri)
Nous vous proposons de nous retrouver :
le samedi 13 mai 2017 à 14h40 à la Cinémathèque
M° Bercy
pour voir le film :
Merci d’être présent 20 minutes avant le film
et de nous prévenir de votre venue
Bonjour à tous.
Nous vous proposons de nous retrouver pour voir deux films d’Alain JESSUA :
Mercredi 26 avril 2017 à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
ARMAGUEDON France/Italie / 1976 / 95 min / 35mm
Avec. Alain Delon, Jean Yanne, Renato Salvatori, Michel Duchaussoy.
Louis Carrier, un artisan, sombre dans la folie. Il projette de faire exploser une bombe lors d'une émission télévisée. L'inspecteur chargé de l'enquête fait appel à un psychanalyste pour traquer Carrier.
RENDEZ-VOUS A 14h – SEANCE A 14H30
LES CHIENS France / 1978 / 100 min / 35mm
Avec Gérard Depardieu, Victor Lanoux, Nicole Calfan.
Un jeune médecin vient de s'installer en région parisienne. Plusieurs de ses patients le consultent après avoir été victimes de morsures de chiens de garde, que de nombreux habitants ont achetés pour se protéger de possibles agressions nocturnes.
RENDEZ-VOUS A 16h30 – SEANCE A 17H
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone car nous devons prendre les billets par avance (et d’être présents à l’heure)
coût 4,00€.
Bonjour,
Dans le cadre de la rétrospective des films de Frank CAPRA
à
51 rue de Bercy
75012 Paris
Métro Bercy Lignes › 6 14
Bus › 24 64 87
nous vous proposons de nous retrouver le
LUNDI 13 FEVRIER 2017
pour voir ou revoir 2 films
1er Film - rendez-vous à 14h40 - ( FILM à 15H )
Vous ne l'emporterez pas avec vous - 1938 -
125mn
avec : Jean Arthur, Lionel Barrymore, James Stewart
Anthony P. Kirby est un homme d'affaires ambitieux qui souhaite installer l'une de ses usines dans un quartier résidentiel mais doit pour cela exproprier plusieurs personnes. Ayant acheté la plupart des terrains du bloc, il se heurte à l'opposition de Martin Vanderhof qui refuse de lui vendre sa maison. Parallèlement, Tony Kirby, son fils, demande en mariage sa secrétaire Alice Sycamore qui se trouve être la petite-fille de Martin Vanderhof.
Fable sociale sur l'Amérique des années 1930, Vous ne l'emporterez pas avec vous reprend plusieurs des thèmes chers à Frank Capra. Le personnage d'Anthony P. Kirby représente l'Amérique des nantis, à qui l'argent et le pouvoir ont fait oublier les vraies valeurs. La famille Vanderhof-Sycamore, galerie de doux-dingues aux principes simples et vrais, incarne avec humour les valeurs humanitaires, sociales et morales que Capra a défendues dans son œuvre cinématographique.
Le scénario du film fut adapté par Riskin de la pièce de théâtre éponyme à succès de George S. Kaufman et Moss Hart qui mettait en scène une maison pleine d'anarchistes rêveurs menée par un grand-père indulgent. La pièce reçut le prix Pulitzer en 1937.
2ème Film - Rendez-vous à 18h40 - ( FILM à 19H )
The power of the press - 1928 - 62 mn
avec : Douglas Fairbanks JR, Jobyna Ralston, Mildred
Harris.
Un procureur est assassiné. Un jeune reporter ambitieux découvre qu'une héritière était avec le procureur au moment du meutre et décide de l'accuser publiquement.
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone et d’être à l'heure
car nous devons prendre les billets par avance – coût 4,00€.
Autrement vous devrez prendre vos billets individuellement.
Jusqu'au dernier moment vous pouvez nous joindre au :
(Danielle) ou (Henri); ( Ariane )
ous vous proposons de nous retrouver à la Cinémathèque Bercy le Vendredi 25 novembre 2016
pour la séance de 20H
avec le film “CEUX QUI M'AIMENT PRENDRONT LE TRAIN ” de Patrice
CHEREAU 120mn - 1998
Avec Pascal Greggory, Jean-Louis Trintignant,
Vincent Perez, Valéria Bruni-Tedeschi, Dominique Blanc, Charles Berling.
SYNOPSIS:
Le peintre Jean-Baptiste Emmerich avait déclaré avant de mourir: "Ceux qui m'aiment prendront le train". Et ils ont pris le train pour Limoges. Les amis, les
vrais, les autres: les faux-jetons, les héritiers, la famille naturelle et non naturelle. Il y a des familles qui ne se réunissent qu'aux enterrements.
L'idée de ce film vient des obsèques du fameux cinéaste François Reichenbach qui a dit « ceux qui m'aiment prendront le train », faisant ainsi descendre sa famille et ses amis à Limoges en 1993. Danièle Thompson faisait partie des voyageurs.
Sous couvert d'enterrement, ce film dissèque une journée d'une quinzaine de personnages en crise, rassemblés autour d'un mort, dont la présence et le regard les
faisait exister, qui ont perdu tout repère et se retrouvent obligés de se confronter les uns aux autres. Cet homme, en quittant ces vivants qu'il avait si fort influencés, les laisse face à des
questions que sa présence faisait oublier.
Merci d’être présent à 19h 40 (soit 20 minutes avant le film)
et de nous prévenir de votre venue : Danielle 06
, Henri 06.
L'équipe Ciné-Club
Nous vous proposons de nous retrouver à la Cinémathèque Bercy le mercredi 16 novembre 2016
pour la séance de 14h30 avec le film “HERBES FLOTTANTES” de Yasujiro OZU 1959 109MN
Avec Ganjirô NAKAMURA, Machiko KYÔ, Ayako WAKAO
SYNOPSIS:
Une troupe de théâtre arrive dans un petit port du sud du Japon. L'acteur principal, Komajuro, a connu une aventure des années auparavant avec une femme de l'endroit, avec laquelle il a eu un fils, Kiyoshi. La maîtresse de Komajuro découvre son secret et envoie une actrice de la troupe, Kayo, séduire le jeune homme.
et une séance à 17h30 pour le film “Tonnerres Lointains” de Satyajit RAY 1973 100MN
Avec Soumitra CHATTERJEE, Ramesh MUKHERJEE, Chitra BANERJEE
SYNOPSIS:
Un village du Bengale en 1942. Les privileges d'un couple de brahmanes sont tout a coup remis en question lorsque la pénurie de riz, dûe à la guerre, s'installe.
Ours d'Or au Festival de Berlin 1973.
Merci de me prévenir de votre venue : Edith 06 77 05 67 48 et d’arriver à 14h10 pour le 1er film et 17h10 pour le second
Actuellement et jusqu'au 12 juin 2017 la Cinémathèque propose une exposition :
L'ECRAN JAPONAIS, 60 ans de découvertes.
A cette occasion nous organiserons 2 sorties cinéma :
- le mercredi 12 octobre à 14h30 pour voir "Contes de la lune vague après la pluie" de Kenji Mizoguchi (1953)
- le mercredi 16 novembre à 14h30 pour "Herbes flottantes" de Yasujiro Ozu (1959).
Réservez ces dates si vous pouvez venir. Un mail vous sera envoyé pour confirmation quelques jours
avant la séance.
Nous vous proposons de nous retrouver :
Vendredi 26 mai 2016 à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir LA VILLE DES PIRATES
de RAOUL RUIZ
France/Portugal / 1983 / 111 min
Avec Hugues Quester, Anne Alvaro, Melvil Poupaud.
Dans une ville onirique, l’amour impossible entre une jeune femme et
un petit garçon criminel, incarnation du Mal.
RENDEZ-VOUS A 18h30 – SEANCE A 19H
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone car nous
devons prendre les billets par avance et d’être présents à l’heure.
coût 2,50€.
A partir de 18h45 vous devrez prendre vos billets individuellement.
Jusqu'au dernier moment vous pouvez nous joindre au :
06 82 67 17 33 (Danielle) ou 06 15 20 67 37 (Jean-Jacques)
Vendredi 22 janvier 2016 à la Cinémathèque 16h30
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir CINQ HOTESSES
MEMORABLES de Kwon-taek Im
Corée / 1973 / 98 min / 35mm / VOSTF
Avec Nou-Sik Park, Seong-il Shin, Eun-Ah Ko.
Pendant l’occupation, cinq hôtesses de bar refusent de devenir les courtisanes des japonais. Elles entrent dans la résistance et viennent en aide à Park, membre du gouvernement provisoire basé à Shanghaï.
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone car nous devons prendre les billets par avance (et d’être présent à 16h séance à 16h30) – coût 2,50€. A partir de 16h15 vous devrez prendre vos billets individuellement.
Jusqu'au dernier moment vous pouvez nous joindre au :
(Danielle) ou (Henri) ou (Edith)pour les numéros voir téléphone dans la page sécurisée CINE PRATIQUE.
Nous serions amenés à annuler la séance si la santé de Philippe se détériorait.
Mercredi 6 janvier 2016 à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir ADADA
Kwon-taek Im
Corée / 1988 / 116 min / 35mm / VOSTF
Avec Hye-soo Shin, Ji-il Han, Geung-young Lee.
Dans les années 20. Adada est une jeune femme jolie, docile, mais muette et un brin intempestive. Alors que son amour pour Soo-ryong, un ami d’enfance, n’a fait que grandir, sa mère décide bientôt de la donner en mariage à Young-hwan, descendant d’une famille noble déchue du village voisin qui obtient en guise de dot un précieux lopin de terre.
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone car nous devons prendre les billets par avance (et d’être présent à 18h30 séance à 19h) – coût 2,50€. A partir de 18h45 vous devrez prendre vos billets individuellement.
Jusqu'au dernier moment vous pouvez nous joindre au :voir Danielle et Henri page ciné pratique.
Samedi 31 octobre 2015 à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir After Hours de Martin
Scorsese
Etats-Unis / 1985 / 98 min / 35mm / VOSTF
Avec Griffin Dunne, Rosanna Arquette, Verna Bloom.
Paul, informaticien timide, passe une nuit cauchemardesque avec une jeune fille qu'il connait à peine.
Rendez-vous à 18h30 (film à
19h)
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone et d’être présent aux heures indiquées car nous devons
prendre les billets par avance – coût 2,50€. Jusqu'au dernier moment vous pouvez nous joindre au : DANIELE ET HENRY VOIR CINE PRATIQUE
Prochaine séance mercredi 4 novembre pour Shutter Island (RdV à 18h30)
Bonjour à tous
Nous vous proposons de nous retrouver :
Lundi 26 octobre 2015 à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
Kundun de Martin Scorsese
Etats-Unis / 1997 / 135 min / 35mm / VOSTF
Avec Tenzin Thuthob Tsarong, Gyurme Tethong, Tulku Jamyang Kunga Tenzin.
A travers l'histoire de la quatorzième réincarnation du Bouddha de la Compassion, de son plus jeune âge à l'invasion du Tibet par l'armée de Mao et à son exil en 1959, hommage
au dalaï-lama.
Rendez-vous à 13h45 (film à 14h15)
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone et d’être présent aux heures indiquées car nous devons prendre les billets par avance – coût
2,50€. Jusqu'au dernier moment vous pouvez nous joindre au :
(Danielle) (Henri) pour les numéros voir page ciné pratique
Prochaine séance Samedi 31 octobre à 18h30 (film à 19h) : After Hours
site : www.cineclublcl.fr
B.C.500-15 Immeuble Rhin 39 avenue. de Paris
94800 VILLEJUIF
Circulaire n° du
le Ciné-Club vous propose ,
Du 14 octobre 2015 au 14 février 2016 soutenue par Giorgio Armani, mécène de l’exposition
Photographies, storyboards, costumes, affiches, objets culte... l'exposition Martin Scorsese s'appuie principalement sur sa propre collection privée à New York, ainsi que sur la collection de Robert De Niro et celle de Paul Schrader. Elle permet d'éclairer les sources d'inspiration de Martin Scorsese, ses méthodes de travail et montre à quel point son approche artistique du récit a caractérisé le cinéma américain moderne.
« Au sein de la génération dite du « Nouvel Hollywood », Scorsese tient toute sa part aux côtés de Spielberg, Lucas, Coppola, Friedkin, De Palma, pour ne citer que ces noms. Mais il y a quelque chose en plus, chez lui, une cinéphilie exacerbée, débordante, boulimique, dont il se nourrit et qui nourrit ses films et le pousse à faire, à intervalles réguliers, des incursions dans le cinéma documentaire sous la forme de « Voyage à travers le cinéma », qu’il soit américain ou italien. Il connaît d’ailleurs tout aussi bien le cinéma français, classique et de la Nouvelle Vague, dont il est un admirateur éloquent. » Serge Toubiana
PRIX DU BILLET : 8€ au lieu de 12€- Billet coupe-file
Nous vous proposons également à l’occasion de la rétrospective intégrale des films de ce cinéaste (du 14 octobre au 30 novembre) des billets de cinéma au tarif de 4€
Personnes à contacter si besoin : Pour l’équipe du Ciné-Club :
Henri ou Danielle BARATIN email henri.baratin@wanadoo.fr – tel habituel ou voir page ciné pratique
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COMMANDE à retourner , accompagnée de votre règlement à :
CINE-CLUB DU LCL – BC 500-15 -39 avenue de Paris 94800 VILLEJUIF
NOM : PRENOM :
Service : Tél :
Nombre de billets pour l’exposition : Règlement 8 € X =
Nombre de billets de cinéma : Règlement 4.€ X……
Si vous ne visualisez pas correctement ce message, visualisez la version en ligne. |
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Communiqué |
22.10.2015
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SCORSESE, L’EXPOSITION
14 OCT. 2015 – 14 FÉV. 2016 DÉJÀ 10.000 VISITEURS ! |
Déjà 10.000 visiteurs en une semaine et un
accueil enthousiaste du public !
L’exposition consacrée à Martin Scorsese, à La Cinémathèque française, est la plus importante jamais conçue sur le réalisateur de Taxi Driver et du Loup de Wall Street. Produite par la Deutsche Kinemathek, elle s’est installée à Paris, légèrement modifiée, accompagnée d’une rétrospective complète de l’auteur deCasino. Dix ans après avoir inauguré La Cinémathèque française, rue de Bercy, le26 septembre 2005, par cette phrase mémorable : « La Cinémathèque est notre demeure spirituelle », Martin Scorsese a tenu à être de nouveau présent à La Cinémathèque française pour rencontrer le public et inaugurer l’exposition.François Hollande, Président de la République, Fleur Pellerin, Ministre de la Culture et de la Communication, Ségolène Royal, Ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, Anne Hidalgo, Maire de Paris,Catherine Deneuve, Isabelle Huppert, Fanny Ardant, Chiara Mastroianni,Roman Polanski, Harvey Keitel, Olivier Assayas, Jean-Paul Rappeneau,Sandy Powell, Dante Ferretti, Michael Pitt, Diana Krall... ont tous répondu présents, autour de Costa-Gavras, Président et de Serge Toubiana, Directeur général de La Cinémathèque française, pour lui rendre hommage. Très ému, Martin Scorsese s’est exclamé : « I’m back home !». |
SCORSESE, L'EXPOSITION : ouverture exceptionnelle
de 10h à 20h
durant les vacances scolaires (17 oct. – 1er nov. 2015) |
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Martin Scorsese, lors du discours inaugural |
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Martin Scorsese en compagnie de François Hollande, Président de la République et de Harvey Keitel |
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La Cinémathèque française remercie
chaleureusement Martin Scorsese et son équipe, ainsi que la Deutsche Kinemathek. Elle remercie également le Ministère de la Culture et de la Communication, leCNC et ses précieux mécènes, la Banque Neuflize OBC, la Fondation Gan pour le Cinéma, Vivendi, Armani, ainsi que Agnès b, et tous ses partenairessans qui l’exposition Scorsese n’aurait pu être accueillie à La Cinémathèque française. |
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LA CINÉMATHÈQUE FRANÇAISE MUSÉE DU CINÉMA |
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Nous vous proposons de nous retrouver :
Mercredi 6 mai 2015 à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir DES COURTS METRAGES d'ANTONIONI – Italie - 1956 – 1h34
Programme 2
Notizie per tutti /1956/2'
Il Giornale conteso /1956/2'
Annonce publicitaire inédite - Cineteca del Friuli
12 registi per 12 città : Roma /1989/10'
Documentaire sur Rome pour le Mondial 1990 tiré
du film collectif 12 auteurs pour 12 villes.
I Tre volti : Il Provino /1964/25'
Khumba Mela (India) /1988/18'
Documentaire sur l'Inde.
Noto, Mandorli, Vulcano, Stromboli, Carnevale /1992/8'/
Le cinéaste retourne sur les lieux où il a filmé L'Avventura.
Le Regard de Michel-Ange
(Lo Sguardo di Michelangelo) /2004/15'/
Le cinéaste Antonioni regarde le "Moïse" de Michel-Ange.
Sicilia /1997/10'/
Images de la Sicile.
Fotoromanza 1984/4'/
Vidéo musicale réalisée pour la chanteuse Gianna Nannini.
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone car nous devons prendre les billets par avance (et d’être présent à 18h30 séance à 19h) – coût 2,50€. A partir de 18h45 vous devrez prendre vos billets individuellement.
Jusqu'au dernier moment vous pouvez nous joindre au :VOIR CINEPRATIQUE POUR VOIR LES TELEPHONES DE HENRI ET DANIELLE.
Nous vous proposons de nous retrouver :
Lundi 2 février 2015 à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir ARROWSMITH de John Ford – USA - 1931 – 1h48
D'après Sinclair Lewis.
Avec Ronald Colman, Helen Hayes, Richard Bennett.
Un homme se destinant à une carrière de médecin renonce d'abord à la recherche scientifique pour exercer une médecine routinière dans une petite ville, à la demande de son épouse. Mais, renouant avec ses ambitions, il va rejoindre un prestigieux institut New Yorkais, avant d'être envoyé en mission dans une île des Caraïbes où sévit une épidémie de peste.
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone car nous devons prendre les billets par avance (et d’être présent à 20h45 séance à 21h15) – coût 2,50€. A partir de 20h55 vous devrez prendre vos billets individuellement.
Jusqu'au dernier moment vous pouvez nous joindre au :
POUR LES NUMEROS DE TELEPHONE DE DANIELLE ET HENRI VOIR LA PAGE CINE PRATIQUE
Lundi 29 décembre 2014 à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir deux films :
LE BANDIT de Edgar G. Ulmer (USA 1954 82mn)
Avec Arthur Kennedy, Betta St John, Eugene Iglesias.
Au Mexique, le bandit Santiago perd son ami, blessé pendant une opération de cambriolage.
Il se réfugie alors dans une ferme appartenant à un couple.
"The Naked Dawn est un de ces films dont on sent très nettement qu'ils ont été tournés dans la joie,
on décèle en chaque plan l'amour du cinéma et le plaisir d'en faire.
C'est un film que l'on a plaisir à revoir et dont on aime à parler avec ses amis.
Un petit cadeau qui nous vient de Hollywood..." (citation de François Truffaut)
Rendez-vous à 16h40 (film à 17h)
UP THE RIVER de John Ford (USA 1930 – 92mn)
Avec Spencer Tracy, Warren Hymer, Humphrey Bogart.
Judy, ancien détenu et Steve, en liberté conditionnelle, tentent de mettre derrière eux leur ancienne vie criminelle.
Rendez-vous à 19h10 (film à 19h30)
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone et d’être présent aux heures indiquées
car nous devons prendre les billets par avance – coût 2,50€. Jusqu'au dernier moment vous pouvez nous joindre au :
06 82 67 17 33 (Danielle) ou 06 85 02 63 44 (Henri)
L'exposition
8 octobre 2014 - 25 janvier 2015 François Truffaut est mort le 21 octobre 1984 à l'âge de 52 ans. À l'occasion du trentième anniversaire de sa disparition, la Cinémathèque française consacre à l'auteur des Quatre cents coups et de Jules et Jim une grande exposition. Conçue à partir des archives de François Truffaut déposées à la Cinémathèque par sa famille, l'exposition retrace le parcours du cinéaste à partir de scénarios annotés, d'ouvragés raturés, de correspondances, de notes manuscrites et de carnets, d'objets, de photos et d'affiches, et dessine en pointillés son univers romanesque. |
Dans les salles
Rétrospective intégrale du 8 octobre au 30 novembre 2014 Truffaut est l'un des grands auteurs de la Nouvelle Vague. Venu de la critique, où il se fait remarquer par sa lucidité intransigeante, il débute avec Les Quatre cents coups en 1959, récit d’une enfance difficile qui rompt avec les conventions du cinéma français. Il réalisera jusqu’à sa mort en 1984 une œuvre où le goût du romanesque, l'amour de la littérature se marieront régulièrement avec une forme d’autobiographie cryptée (la série des « Antoine Doinel »).
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Le catalogueUn catalogue de 240 pages sous la direction de Serge Toubiana
L'ouvrage puise dans les archives personnelles de François Truffaut et propose de parcourir sa vie et son œuvre en revisitant les
grands thèmes qui l'ont inspiré : le rapport masculin/féminin, l'Amérique, l'éducation sentimentale, la littérature... Photographies de tournage et nombreux documents
inédits.
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Étudier François Truffaut
Journées d'études des 6 et 7 novembre 2014
Stage adulte
Pour les étudiants en cinéma
Pour les enseignants : |
Sur le web
Truffaut par Truffaut Un site web en forme de journal intime, soit 15 chapitres qui sont autant de bornes dans la vie et la carrière de François Truffaut, et qui révèlent l'importance de ses archives dans les collections de la Cinémathèque française. L'enfance, la cinéphilie, le journalisme, les tournages ou encore la musique seront abordés au travers d'une narration riche en photographies, extraits, lettres, archives et témoignages inédits. |
L'actualité François Truffaut |
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Focus sur La Nuit américaine d'Angélique : La Cinémathèque vous propose, en ligne, un formidable court-métrage de Pierre-Emmanuel Lyet et Joris Clerté.
En allant voir La nuit américaine de François Truffaut, Angélique découvre qu’on peut inventer sa vie. Se prendre pour Nathalie Baye, obtenir l’admiration de son père, choisir un métier incompréhensible... |
L'intégrale des films en DVD (TF1 Vidéo / Mk2)
"Le dernier métro" en version restaurée
Rétrospective
Le monde musical de François Truffaut
Ciné Balade |
Concours de films suédés sur arte.tv
Soirées TV sur Arte
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LE MUSEE IMAGINAIRE D'HENRI LANGLOIS
EXPOSITION du 9 avril au 3 août 2014 pour le centenaire de sa naissance.
Le ciné-club remboursera 5€ aux adhérents qui visiteront cette exposition sur présentation du billet d'entrée
Henri Langlois fut un personnage savant et dénué d'esprit de sérieux, intempestif et opiniâtre, à l'instar des autres figures géniales du XXe siècle qui mêlèrent l'extravagance de leurs projets à celle de leur comportement. Pittoresque pédagogue, poète d'un art qui n'en finissait pas de douter qu'il en soit un, Henri Langlois offre à la jeune cinéphilie d'aujourd'hui l'occasion d'un éloge du goût comme posture éthique, face aux tendances cyniques et uniformisantes de l'idéologie consumériste. Dès les années 30, Langlois fut un voyant, lançant le cinéma à la conquête des autres arts. Il prit conscience de la disparition du cinéma muet et de l'importance que le cinéma avait déjà pour les artistes majeurs du siècle. La Cinémathèque française fut son œuvre et cette institution impulsa la création des cinémathèques du monde entier. Henri Matisse, Max Ernst, Miró, Picabia, Léger, Magritte, Beuys et Andy Warhol, parmi tant d'autres, y trouvèrent les solutions pour réaliser leur passion de figurer le mouvement. Langlois inventa ainsi le musée où les artistes ne viennent plus copier les maîtres mais découvrir ce dont personne n'avait eu autant la preuve avant le cinéma : le monde n'est que mouvements, vitesses et rythmes. Simultanément, il permit de découvrir l'influence que les cinéastes avaient reçue des arts visuels du passé. Jean Renoir, Eisenstein, Charlie Chaplin, Fritz Lang, Hitchcock, Godard, eux, copièrent les maîtres ! Le goût d'Henri Langlois pour un cinéma non "aliéné" à la narration, lui fit défendre les grands cinéastes-peintres : Ruttmann, Fischinger, Len Lye, Man Ray, Léger, Richter... puis Kenneth Anger, Paul Sharits, les recherches françaises des années soixante de Martial Raysse à Philippe Garrel, la factory d'Andy Warhol...
Horairesdu 9 avril au 3 août
Lu, Me à Sa 12 – 19h,
Nocturne le jeudi jusqu’à 22h
Di 10h – 20h
Fermeture les mardis et le 1er mai
Nous vous proposons de nous retrouver :
Dans le cadre du cycle : CENTENAIRE DE LA GRANDE GUERRE AU CINEMA
Vendredi 11 avril 2014 à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir un film de Gabriel Le Bomin
Les Fragments d'Antonin - France - 2005 - 90’
Avec Grégori Derangère, Anouk Grinberg, Aurélien Recoing, Niels Arestrup.
1919. Antonin est revenu de la guerre sans blessure apparente, mais traumatisé par les horreurs qu'il a vécues. Son cas va intéresser au plus haut point le professeur Labrousse, pionnier dans le traitement des chocs traumatiques de guerre, qui va tenter de lui faire revivre les moments les plus intenses de son expérience de la guerre afin de l'en libérer.
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone car nous devons prendre les billets par avance (et d’être présent à 20h10 séance à 20h30) – coût 2,50€. A partir de 20h20 vous devrez prendre vos billets individuellement.
Pour les téléphones voir page pratique
Notre ciné-club organise des sorties à la Cinémathèque.
Pour les adhérents, nous avons des billets à tarifs réduits.
Si vous souhaitez aller voir un film de façon individuelle, cliquer sur le lien ci-dessous.
Pour les billets à tarifs réduits, allez dans la zone "DOMAINE PRIVEE" , page CINE-CLUB PRATIQUE.
Les Fragments d'Antonin est un film français réalisé par Gabriel Le Bomin, produit en 2005 et sorti en France en 2006.
La grande guerre n'a pas fait que des morts, des gueules cassées, des veuves ou des orphelins, elle a aussi laissé des êtres humains dans le désarroi psychologique et dans l'impossibilité de se reconstruire mentalement après tant d'horreurs vécues. Antonin Verset fait partie de ces cas extrêmes des blessés de l'âme, il est incapable de s'exprimer par la parole, il ne lui reste plus que quelques gestes obsessionnels.
En 1919, le professeur Labrousse, pionnier dans le traitement des chocs traumatiques de guerre, se passionne pour son cas. Sa méthode, nouvelle et controversée, doit lui faire revivre les moments les plus intenses de sa guerre afin de l'en libérer.
Bien que ce film ait été très bien accueilli par la critique à sa sortie, la première œuvre majeure de Gabriel Le Bomin n'a pas attiré beaucoup de public en salle.
Avant de réaliser ce premier long métrage, Gabriel Le Bomin a longtemps été plongé dans le monde de la guerre et des traumatisés. Après avoir effectué son service militaire au Cinéma des Armées où il a pu avoir accès à de nombreux documents d'archives, il a ensuite réalisé plusieurs documentaires dont un pour le compte du Musée de la médecine sur les traumatisés de guerre depuis la guerre de 14-18 jusqu'à la guerre du Golfe.
Entre l'idée d'origine et la fin de la production, il s'est écoulé près de quatre ans. L'écriture du scénario a elle-même pris deux années pendant lesquelles Le Bomin a rencontré plusieurs psychiatres du Val de Grâce pour étayer scientifiquement son scénario.
Le tournage a duré sept semaines. Les scènes de tranchées ont été tournées dans la commune de Valdahon, en Franche-Comté, sur le terrain militaire du camp du 13e régiment du génie. Le fort du film est celui de Montlignon/Domont, près de Paris, qui est aussi le lieu d'entraînement de tir de la Police nationale.
Jeudi 6 mars 2014 à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir deux films d'Amos GITAI
LA MAISON (BAIT) Israël/1980/51mn
A Jérusalem, une maison est en cours de construction pour un nouveau propriétaire juif.
Le film montre les conflits entre Juifs et Arabes dans un microcosme.
WADI Israël/1980/40'/
Documentaire sur une communauté de squatters arabes et juifs dans un quartier abandonné de Haïfa.
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone car nous devons prendre les billets par avance (et d’être présent à 18h40 séance à 19h) – coût 2,50€. A partir de 18h50 vous devrez prendre vos billets individuellement.
Jusqu'au dernier moment vous pouvez nous joindre au :
POUR LES NUMEROS DE TELEPHONE VOIR PAGE CINE CUB PRATIQUE
Je suis allé voir ce film et j'ai été captivé dès la première minute par le récit, avec en prime un superbe plan de l'actrice Natalie Portman en pleurs.
La musique et le chant est en fait une chanson israelienne en Araméen qui explique que c'est dieu qui décide de tout.
C'est un vaste sujet.
A découvrir et a voir.
En prime le lien pour écouter la chanson
13, rue Madeleine (13 Rue Madeleine) est un film américain réalisé par Henry Hathaway, sorti en 1947.
Synopsis
Pendant la seconde Guerre mondiale, le débarquement des Alliés en Normandie se prépare. Bob Sharkey, agent américain des services secrets, forme et entraine un groupe de recrues volontaires pour une mission en France. Un espion allemand réussit à les infiltrer, Sharkey le démasque mais lui laisse ignorer qu’il est découvert pour mieux le manipuler. Dans ce but, il fait croire que le débarquement des Forces Alliées aura lieu en Hollande.
Parachuté en Normandie, le groupe doit localiser le siège de la Gestapo au 13, rue Madeleine, et repérer et détruire les batteries de missiles dissimulées par les Allemands pour protéger les côtes françaises. Mais l’agent nazi s’aperçoit que les renseignements qu’il a obtenus sont faux…
Et parmi les acteurs non crédités :
Vendredi 17 janvier 2014 à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir un film de Henry HATHAWAY
QUATORZE HEURES (USA 1950 92mn)
Un jeune homme visiblement désespéré se prépare à sauter d'un immeuble
quand un policier arrive et tente de l'en dissuader.
Avec Paul DOUGLAS, Richard BASEHART, Barbara BEL GEDDES
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone
car nous devons prendre les billets par avance
(et d’être présent à 19h10 séance à 19h30) – coût 2,50€.
A partir de 19h20 vous devrez prendre vos billets individuellement.
Jusqu'au dernier moment vous pouvez nous joindre au :
06 82 67 17 33 (Danielle) ou 06 85 02 63 44 (Henri)
site : www.cineclublcl.fr
B.C.500-14 Immeuble Rhin 39 avenue. de Paris
94800 VILLEJUIF
Circulaire n° 5731013 du 15 octobre 2013
le Ciné-Club vous propose ,
Evénement à l'occasion du cinquantenaire de la mort de Jean Cocteau, avec le soutien du Comité Cocteau et de la Fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent.
Jean Cocteau cinéaste
Cette rétrospective retrace le parcours d'un poète qui a écrit ou adapté de nombreux récits pour le grand écran, a fait adapter ou adapté lui -même certaines de ses œuvres, a signé enfin comme réalisateur un certain nombre de films parmi les plus singuliers de l'histoire du cinéma français, réussissant la synthèse supposée impossible du cinéma et de la poésie...
Génie polymorphe et artiste touche-à-tout, Jean Cocteau s'est toujours intéressé au cinéma, comme scénariste, cinéaste ou acteur. Cette rétrospective retrace le parcours d'un poète qui a écrit ou adapté de nombreux récits pour le grand écran (Les Dames du Bois de Boulogne, L'Éternel Retour), a fait adapter ou adapté lui-même certaines de ses œuvres (Les Enfants terribles, L'Aigle à deux têtes, Les Parents terribles), a signé enfin comme réalisateur un certain nombre de films parmi les plus singuliers de l'histoire du cinéma français (Orphée, La Belle et la Bête, Le Testament d'Orphée), réussissant la synthèse supposée impossible du cinéma et de la poésie.
L'exposition, au Musée du Cinéma, est l'occasion de montrer des fonds exceptionnels collectés par La Cinémathèque française et grâce à la générosité de donateurs. Elle dévoile affiches, scénarios, correspondances, ouvrages précieux, dessins, photographies de plateau et de tournage, ou encore des costumes et objets, dont le célèbre costume d'homme-cheval imaginé par Cocteau pour « Le Testament d'Orphée » et la robe dessinée par Marcel Escoffier pour « La Belle et la Bête ».
Les collections témoignent aussi des activités de critique de Cocteau, et de son implication dans diverses manifestations d'importance, notamment le Festival de Cannes dont il fut à plusieurs reprises Président du jury avant d'en être nommé Président d'honneur.
LA CINEMATHEQUE FRANCAISE – 51, rue de Bercy – 75012 PARIS –M°Bercy
PRIX DU BILLET : 3 € au lieu de 5€- Billet coupe-file pour le musée du cinéma incluant l’exposition
VOIR TELEPHONES DANS LA PAGE 2013 CIRCULAIRES ET PLUS
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PRIX SPECIAL ADHERENTS.
EXPOSITION Jean COCTEAU
COMMANDE à retourner , accompagné de votre règlement à :
CINE-CLUB DU LCL – BC 500-14 – 39, avenue de Paris 94800 VILLEJUIF ou VENTE DIRECTE pendant nos permanences les 2ème et 4ème jeudi de chaque mois dans notre local situé Immeuble Rhin au rez de jardin
NOM : PRENOM :
Service : Tél :
Nombre de personnes intéressées : Règlement 3,00 € X =
Chèque à l’ordre du Ciné club LCL
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Médée (Medea) est un film italien de Pier Paolo Pasolini, sorti en 1969. Il est inspiré par le mythe de Médée et plus particulièrement par la version qu'en a donné Euripide dans sa Médée.
Médée est la fille d'un roi qui règne sur un peuple barbare et cruel dans une contrée sauvage et lointaine. Les sacrifices humains y sont un rite en usage, sous l'œil d'une toison de bélier en or qui fait figure de totem sacré.
Or un guerrier du nom de Jason venu d'un pays plus civilisé est chargé par son propre roi de récupérer la pelure. En le voyant, Médée tombe folle amoureuse de lui et, avec l'aide de son jeune frère, elle livre la toison à Jason et s'enfuit avec lui. Mais ils sont pris en chasse par l'armée du roi et Médée tue son frère Apsyrtos et le découpe en morceaux qu'elle sème sur son passage, retardant ainsi les poursuivants qui s'arrêtent à chaque fois pour les récupérer.
Dix ans plus tard, Médée a refait sa vie dans la ville majestueuse de Corinthe, même si elle a eu du mal à quitter sa vie de prétresse proche des grandes forces de la nature. Elle a donné deux enfants à Jason. Pourtant, le couple va mal : Jason a des ambitions pour lui et ses fils, et il décide de se marier avec la fille du roi. Ce dernier prend peur de la réaction de Médée, dont la rumeur dit qu'elle a gardé des pouvoirs mystérieux de son pays d'origine. Il décide de l'exiler.
Furieuse de perdre à la fois son mari, ses enfants et sa place à Corinthe, folle de douleur, Médée invoque ses anciens dieux et ourdit un plan pour se venger. Gagnant un jour de répit, elle fait semblant de partir sans rancune et offre une tunique à Glaucé , la fille du roi. Or celle-ci est imbibée d'un onguent qui brûle la peau de la fille du roi ; cela la consume pendant des heures, il lui est impossible d'enlever la tunique et elle meurt dans d'atroces souffrances. Médée tue enfin ses propres enfants en les égorgeant et met le feu à sa maison.
La scène finale montre un Jason désespéré réclamant le corps de ses enfants que Médée, environnée des flammes de l'incendie, lui refuse obstinément.
site : www.cineclublcl.fr
B.C.500-14
39 av. de Paris
94800 VILLEJUIF Circulaire n° du octobre 2013
Dans le cadre de l’exposition Pasolini à la Cinémathèque le Ciné-Club vous propose
pour 3 euros*
A la Cinémathèque Française 51 rue de Bercy – 75012 PARIS
Métro : Bercy
Mamma Roma, une prostituée d’âge mûr, est libérée de son souteneur à l’occasion du mariage de celui-ci. Elle reprend alors avec elle son jeune fils qui ne sait rien de son ancienne condition, s’installe dans un quartier populaire de Rome et devient vendeuse sur un marché. Alors qu’elle nourrit des espoirs de réussite pour son fils, celui-ci commence à traîner avec les jeunes désoeuvrés du quartier….
La mamma échappe au folklore des bas-fonds romains pour devenir une héroïne tragique. Accompagnée de longs mouvements de caméra, Anna Magnani, pathétique et merveilleusement dirigée, sert de médium à cette métaphore sur l’injustice sociale et le déterminisme. Son fils, lui aussi, est condamné à la marginalité. Et cet adolescent qui marche au-devant de son destin est terrible et bouleversant – Jacques Siclier (Télérama)
L’équipe du Cinéclub vous accueillera dans le hall de la Cinémathèque Afin de vous assurer l’accès à la salle et vous remettre votre billet en échange de 3€ nous vous donnons rendez-vous à 19h30
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· séance ouverte à tous les membres du personnel ( quelque soit le CE de rattachement ) et à leurs conjoints, sur présentation de cette circulaire.
· Venez nombreux – venez nombreux – venez nombreux
Anna Magnani, née le 7 mars 1908 à Rome, province du Latium, Italie et morte le 26 septembre 1973 dans la même ville, était une actrice italienne.
Fille naturelle, abandonnée par sa mère, elle est élevée chichement par sa grand-mère maternelle à Rome, et fit son éducation dans un couvent.
Elle commence sa carrière artistique en chantant dans des cabarets et des night-clubs avant d'intégrer l'Académie d'art dramatique de Rome. Commencent ensuite des tournées à travers le pays avec des compagnies théâtrales à répertoire minimal.
Ses débuts au cinéma ont lieu en 1927 avec un petit rôle dans un film muet, Scampolo, suivi d'un rôle de premier plan dans La Prisonnière des ténèbres (La Cieca di Sorrento) de Nunzio Malasomma en 1934.
En 1935, elle épouse Goffredo
Alessandrini qui la fit jouer dans La Cavalerie héroïque (Cavalleria) en 1936. Leur union dura peu de temps et le mariage fut annulé en 1950.
Son caractère fort, décis, et les rôles de femme plébéienne, rude et passionnée qu'elle incarne, firent d'elle une des plus grandes actrices de son époque et encore aujourd'hui son jeu scénique est inimitable.
Elle devint une actrice connue avec le rôle qu'elle eut en 1941 dans Mademoiselle Vendredi (Teresa Venerdi), réalisé par Vittorio De Sica. Sa véritable percée et sa réputation mondiale se firent avec Roberto Rossellini dans le film Rome, ville ouverte (Roma, città aperta) en 1945, généralement considéré comme le premier film néoréaliste commercial de l'après-guerre.
Dès lors, elle ne cessa de travailler pour le cinéma et la télévision.
La consécration arrive en 1956, lorsqu'elle reçoit l'Oscar de la meilleure actrice pour sa performance dans la version cinématographique de La Rose tatouée (The Rose Tattoo) de Daniel Mann d'après la pièce de Tennessee Williams (Williams et elle étaient des amis proches). Elle devient ainsi la première actrice italienne à recevoir un Oscar. En 1958, elle est nominée dans la même catégorie pour le rôle de Gioia dans Car sauvage est le vent (Wild Is the Wind).
Par la suite, elle travaille avec les plus importants réalisateurs italiens durant les années 1950, 1960et 1970.
Le dernier film dans lequel elle joua fut Fellini Roma, en 1972.
Elle eut une liaison avec Roberto Rossellini entre la réalisation de Rome, ville ouverteen 1945 et celle de "l'Amour"en 1948.
Anna eut un enfant en 1942 avec l' acteur italien Massimo Serato.Aussi elle ne put jouer dans Ossessione de Visconti .
Elle mourut à Rome le 26 septembre 1973 d'un cancer du pancréas.
L'exposition, au Musée du Cinéma, est l'occasion de montrer des fonds exceptionnels collectés par La Cinémathèque française et grâce à la générosité de donateurs. Elle dévoile affiches, scénarios, correspondances, ouvrages précieux, dessins, photographies de plateau et de tournage, ou encore des costumes et objets, dont le célèbre costume d'homme-cheval imaginé par Cocteau pour Le Testament d'Orphée et la robe dessinée par Marcel Escoffier pour La Belle et la Bête.
Les collections témoignent aussi des activités de critique de Cocteau, et de son implication dans diverses manifestations d'importance, notamment le Festival de Cannes dont il fut à plusieurs reprises Président du jury avant d'en être nommé Président d'honneur.
Evénement à l'occasion du cinquantenaire de la mort de Jean Cocteau, avec le soutien du Comité Cocteau et de la Fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent.
Plein tarif : 5 €
Tarif réduit : 4 €
Moins de 18 ans : 2,5 €
Forfait Atout Prix : 3,5 €
Libre Pass : Accès libre
Musée + film : 8 €*
Audioguide disponible gratuitement avec le billet d'entrée.
Entrée libre Dimanche 10h – 13h
*uniquement aux guichets
Exposition à partir du 2 oct
Lu, Me à Sa 12 – 19h
Di 10h – 20h
Fermeture les mardis, le 25 décembre et le 1er janvier
Le Musée et l'exposition Cocteau fermeront exceptionnellement à 16h lundi 14 octobre.
Bonjour à tous
Nous vous proposons de nous retrouver :
Mercredi 24 juillet 2013 à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir un film de Larry COHEN
WICKED STEPMOTHER (USA 1988 90mn)
Deux sorcières, une mère et sa fille, sèment la panique dans une famille bourgeoise.
Avec Bette DAVIS, Barbara CARRERA, Colleen CAMP
En rentrant de vacances, Jenny et Steve retrouvent Sam, le père de Jenny, marié à Miranda, une femme qui est en réalité une sorcière. Leur vie se trouve bouleversée, surtout lorsque se joint à la famille Priscilla, la fille de Miranda. Jenny décide d'engager un détective...
Merci de nous faire part de votre participation par mail ou téléphone et d’être présent à 18h40
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AMIS ADHERENTES ET ADHERENTS BONJOUR,
Ce film que vous avez certainement déjà vu est un chef d'oeuvre du cinéma tourné sous l'occupation en 1941.
Vous avez un article plus approfondi dans la page "2013 circulaires et plus".
A VOIR ABSOLUMENT OU BIEN A REVOIR ABDOLUMENT.
Nous vous joignons le texte de la chanson de Charles Trenet.
A CHANTER IMPERATIVEMENT OU A RECHANTER IMPERATIVEMENT.
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LA ROMANCE DE PARIS
Paroles : Charles Trenet
Musique : Charles Trenet et Léo Chauliac
© - 1941 - Salabert
Ils s'aimaient depuis deux jours à peine
Y a parfois du bonheur dans la peine
Mais depuis qu'ils étaient amoureux
Leur destin n'était plus malheureux,
Ils vivaient avec un rêve étrange,
Et ce rêve était bleu comme les anges
Leur amour était un vrai printemps, oui !
Aussi pur que leurs tendres vingt ans.
Refrain:
C'est la romance de Paris,
Au coin des rues elle fleurit,
Ça met au cœur des amoureux
Un peu de rêve et de ciel bleu,
Ce doux refrain de nos faubourgs
Parle si gentiment d'amour
Que tout le monde en est épris :
C'est la romance de Paris !
La banlieue était leur vrai domaine
Ils partaient à la fin de la semaine
Dans les bois pour cueillir le muguet
Ou sur un bateau pour naviguer.
Ils buvaient aussi dans les guinguettes
Du vin blanc qui fait tourner la tête,
Et quand ils se donnaient un baiser, oui!
Tous les couples en dansant se disaient :
{Refrain}
C'est ici que s'arrête mon histoire,
Aurez-vous de la peine à me croire?
Si j'vous dis qu'il s'aimèrent chaque jour,
Qu'ils vieillirent avec leur tendre amour;
Qu'ils fondèrent une famille admirable,
Et qu'ils eurent des enfants adorables,
Qu'ils moururent gentiment, inconnus, oui!
En partant comme ils étaient venus.
{Refrain}
B.C 500-14 Immeuble Rhin
39 avenue de Paris 94800 VILLEJUIF
A l’occasion de la nouvelle exposition présentée par la Cinémathèque, nous vous proposons de nous retrouver le
MERCREDI 17 AVRIL à 18H30
pour assister à la projection du film (19h) de
Jacques DEMY (film TV d’après le roman de Colette)
«LA NAISSANCE DU JOUR » 1980 FR 1h30’.
avec Danièle DELORME, Dominique SANDA, Jean SOREL, Orane DEMAZIS
Le film : Saint Tropez 1927. Dans sa maison du bord de mer, Colette se souvient de sa mère, Sido mais aussi de ses mariages et de ses animaux. Elle a 54 ans et vit désormais recluse, uniquement visitée par un voisin plus jeune qu’elle, le séduisant Vial, avec lequel elle a une liaison discrète.
POUR NOS ADHERENTS VOIR CONDITIONS DANS 2013 CIRCULAIRES ET PLUS
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Conçue par La Cinémathèque française et présentée au printemps 2013, l’exposition Jacques Demy fera rimer ses extraits de films avec des photographies, peintures, dessins ou sculptures créés par l'artiste lui-même et par des artistes dont le réalisateur a revendiqué l’influence (Jean Cocteau, David Hockney, Alexander Calder, Raoul Dufy, Niki de Saint-Phalle).
A la fois spectaculaire et intime, l’exposition nous plongera dans un univers coloré et musical
Le monde enchanté de Jacques Demy
L'œuvre cinématographique de Jacques Demy dessine un monde. Un monde de villes portuaires (Nantes, Nice, Cherbourg, Rochefort, Los Angeles, Marseille), traversé de chassés-croisés amoureux, où l'imaginaire a toujours raison de l'impossible. Dix-huit films que le cinéaste désirait tous « liés les uns aux autres ». Comédie humaine pop, hantée d'une pléiade de personnages en-chantés, à la sensualité chromatique explosive, qui apparaissent dans le champ avec une précision méticuleuse, pris dans le filet géométrique d'une mise en scène au cordeau qui fait de Demy (1931- 1990) un des plus grands perfectionnistes du cinéma français et un des seuls à avoir interrogé le devenir musical du septième art.
L'univers de Jacques Demy se compose de marins, forains, fée des Lilas, ouvriers, jumelles excentriques, artistes rêveurs ou marchand de télé. Il est un de ces cinéastes magiciens qui a su garder son enfance intacte, continuant d'y puiser tout au long de sa vie son énergie créatrice. Puissance de sublimation inassouvie, présente aussi dans sa pratique du dessin (dès les années 40), de la photographie et de la peinture (dans les années 80), que l'exposition révélera pour la première fois aux côtés de clichés inédits de sa compagne Agnès Varda, et d'œuvres réalisées par ses plus proches collaborateurs. En particulier, les créations musicales de Michel Legrand (son « frère de cinéma ») ainsi que les gouaches fauves du décorateur Bernard Evein, qui l'accompagna durant toute sa carrière. Mais l'œuvre de Demy outrepasse la seule histoire du cinéma pour s'inscrire dans celle de l'art du XXe siècle. Pour prouver ce postulat esthétique, l'exposition, construite de manière chronologique, confrontera les films avec des œuvres originales d'artistes dont Demy a explicitement revendiqué l'influence : Raoul Dufy dont l'aquarelle La Baie des Anges inspirera le film éponyme de Demy, David Hockney pour sa représentation lumineuse de la Californie ou Leonor Fini pressentie pour créer les costumes fabuleux de Peau d'âne.
Matthieu Orléan
POUR NOS ADHERENTS VOIR CONDITIONS DANS LA PAGE 2013 CIRCULAIRES ET PLUS
Jacques Demy, né le 5 juin 1931 à Pontchâteau (Loire-Atlantique), mort le 27 octobre 1990 à Paris est un cinéaste français, principalement connu comme réalisateur, mais également scénariste, dialoguiste, parolier, producteur et acteur.
En tant que réalisateur, Demy est proche de la Nouvelle Vague. On lui doit notamment les films Lola et Peau d'Âne, les films musicaux Les Parapluies de Cherbourg, Les Demoiselles de Rochefort et Une chambre en ville.
Nous vous proposons de nous retrouver :
Vendredi 1er février 2013 à la Cinémathèque
51 rue de Bercy PARIS 12ème – Mo Bercy
pour voir un film de Luigi COMENCINI
MARITI IN CITTA (Italie 1957 90mn)
Luigi Comencini est un réalisateur italien, né le 8 juin 1916 à Salò, province de Brescia en Lombardie (Italie), mort le 6 avril 2007 à Rome.
Sommaire |
Après des études secondaires en France et cinq années à l'école d'architecture de Milan, il fonde, avec Alberto Lattuada et Mario Ferrari, la Cineteca Italiana (it) où il réunit les premiers fonds d'archives du cinéma italien.
Critique de cinéma, dès la fin de la guerre, il écrit des articles notamment dans l'Avanti et le Tempo, en même temps que des scénarios.
En 1946, il réalise le court métrage documentaire Les Enfants dans la ville (Bambini in città) qui lui vaut le Ruban d'argent (Nastro d'argento). Le monde de l'enfance sera d'ailleurs un des thèmes récurrents de l'oeuvre de Comencini qu'il aborde notamment dans son premier long-métrage, De nouveaux hommes sont nés (Proibito rubare), en 1946 ainsi que dans le drame psychologique L'Incompris en 1967, la télé-série Les Aventures de Pinocchio en 1972 et Eugenio en 1980.
Souvent en marge des courants et des modes et malgré de grands succès publics comme Pain, amour et fantaisie ou de fortes œuvres satiriques comme La Grande Pagaille ou L'Argent de la vieille, son talent est resté assez sous-évalué par la critique qui lui préférait, dans les années 70, un cinéma plus engagé.
Luigi Comencini a eu quatre filles : Cristina, Francesca, Paola et Eleonora, qui font toutes carrière au cinéma.
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Mariti in città est un film italien réalisé par Luigi Comencini, sorti en 1957.
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Les épouses sont parties en vacances, plusieurs maris décident donc de profiter pleinement de ce célibat provisoire... |
B.C 500-14 Immeuble Rhin
39 avenue de Paris 94800 VILLEJUIF
A l’occasion de la nouvelle exposition présentée par la Cinémathèque, nous vous proposons de nous retrouver le
LUNDI 19 NOVEMBRE à 18H30
pour assister à la projection du film (19h) de
MARCEL CARNE , d’après Emile Zola:
«THERESE RAQUIN » 1953 FR 1h45’.
Le film : Thérèse, jeune orpheline, épouse le fils souffreteux de ses parents adoptifs. Elle rencontre un jour Laurent, brave camionneur italien dont la gentillesse la séduit. Elle hésite par devoir à partir avec lui. Son mari et sa belle-mère, apprenant sa liaison, décident de l'emmener à Paris. Laurent tente une nouvelle fois au cours du voyage de s'interposer.
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L’exposition présentera, à travers une scénographie colorée et spectaculaire évoquant le boulevard du Crime et le Théâtre des Funambules, plus de 300 pièces : Peintures, gouaches, photographies, archives, costumes, accessoires, affiches, appareils…
Le parcours sera ponctué de nombreux extraits audiovisuels (films, documentaires, actualités, musique) et divisé en dix séquences :
- Les sources d’inspiration
- Le scénario de Jacques Prévert
- Un quatuor (Prévert, Carné, Trauner, Kosma) et une équipe
- La production du film sous l’Occupation
- Le Tournage
- Les acteurs et les costumes
- La musique
- Une troisième époque, jamais tournée…
- La sortie du film
- Postérité.
Produit sous l’Occupation par Pathé et sorti sur les écrans en 1945, Les Enfants du Paradis de Marcel Carné, réalisé d’après un scénario original et des dialogues de Jacques Prévert, est un spectacle total (comédiens, photographie, lumière, découpage, musique, décors, costumes) d’une éclatante réussite esthétique. Ce triomphe de la grande « qualité française » – avant que celle-ci ne s’étiole et ne soit remplacée par la Nouvelle vague – est un film sur l’amour fou, les rapports entre le théâtre et le cinéma, la scène et la rue. Bon nombre de séquences mythiques sont gravées dans la mémoire collective. « Je donnerai tous mes films pour avoir réalisé Les Enfants du Paradis », aurait dit François Truffaut.
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