FESTIVAL FEMA 2024

FEMA 2023

Comme tous les ans les adhérents de notre ciné-club sont venus à la Rochelle.

Nous étions 14 cette année à suivre les conseils personnels de Sylvie Pras et Sophie Mirouze, toutes deux responsables de ce merveilleux festival.

Ce 51ème Festival nous a enchantés de par sa diversité.

nous avons apprécié les films de Sacha Guitry (copies restaurées), les films et la présence de Pierre Richard, les cinés concerts mettant en valeur les films muets, les débats avec les professionnels du cinéma. 

Dans un prochain pavé, je mettrais mes avis sur une vingtaine de films vus.

Encore une fois un grand merci aux organisateurs.

Commentaires sur le 51ème festival de cinéma de la Rochelle (FEMA) par pierre Durand.

Plus de 20 films avec beaucoup de satisfaction.

Avec des étoiles pour noter de 1 mauvais, 2 passable, 3 se laisse regarder, 4 bon film à 5 étoiles, un chef d’œuvre.

1/Le film d’ouverture proposé en avant-première était à classer dans la série science-fiction, tendance horreur avec une grande touche de niaiserie. Imaginons un sous film de David Cronenberg (La Mouche) et nous serons proche de la vérité. Le règne animal, film réalisé par Thomas Cailley sortira dans les salles en octobre 2023. Seuls les deux acteurs principaux, Romain Duris et le jeune Paul Kircher sauvent par leur présence le scénario. (2 étoiles).

2/ Eve de Joseph Mankiewicz, film de 1950 mettant en valeur Bette Davis. OUAIS Bon 3 étoiles.

3/ils étaient neuf célibataires de Sacha Guitry 1939. Du grand Guitry avec son humour grinçant. J’ai adoré. 5 étoiles.

4/Machta film tunisien de Sonia Ben Slama. Un cinéma correcte mais manque de maturité pour raconter une histoire de famille banale. 3 étoiles.

5/la tendre indifférence du monde de A. Yerzanov. Film du Kazakhstan tourné en 2018. Très beau film sur la dénonciation de la corruption avec un solide scénario et de belles images. 4 étoiles.

6/Donne-moi te yeux de Sacha Guitry 1943. Personnellement, ce n’est pas un des meilleurs Guitry.

 

7/Une femme cherche son destin de Irvin rapper 1942. Ce film est merveilleux avec une splendide Bette Davis. 4 étoiles. A suivre.

suite des films vus.

8/Bonne chance de Sacha Guitry . beaucoup d’humour, merveilleux, jubilatoire. 5 étoiles.

9/ le comédien de Sacha Guitry 1947. La vie de Lucien Guitry père relaté par son fils Sacha. 3 étoiles car pour moi Guitry en fait de trop dans ce film.

10/Sous les figues. Film Tunisien d’Erige Séhiri 2022. Un beau film avec des intrigues sentimentales qui se nouent sous la dictature d’un chefaillon qui impose sa loi dans la cueillette des figues. Mais les jeunes femmes ne se laissent pas faire. Film très frais avec de belles couleurs. 4 étoiles.

11/Les naufragés de l’ile de la tortue de Jacques Rozier. 1976 avec Pierre Richard et Jacques Villeret.

Décédé depuis peu, Jacques Rozier nous livre une œuvre originale, nouvelle vague dans ce film ou excellent Pierre Richard et Jacques Villeret. 4 étoiles.

 

12/Les feuilles mortes de Aki Kaurismaski. 2023 un excellent film Finlandais ou Aki film la vie de gens dans la galère, les laisser pour compte avec leurs dérives. 4 étoiles.

Suite.

13/Les idiots film de Lars Van trier1998, film Danois. Belle réflexion sur l’idiotie et la peur que cela peut engendrer lorsque les personnages sont confrontés entre idiots et non idiots.  3 étoiles.

Nota. Les films de Lars Van Trier ne font pas partis de mes préférés.

14/Le roman d’un tricheur Sacha Guitry 1936. Jubilatoire ! une bouffée d’oxygène face à certains films dont le sujet est plus sérieux. Ce film n’a pas vieilli grâce à son scénario bien ciselé en humour décapant. 5 étoiles.

 

15 Exogène : film autrichien de Nikolaus Geyralter ; 2022 .En fait documentaire sur notre planète que nous avons transformé en poubelles. Un film dur sur notre société de consommation avec tous les déchets que nous accumulons partout dans le monde. Tout est pollué ! triste et consternant.

Ce film pour l’instant ne sortira pas en salles faute de producteur. 4 étoiles.

Jeudi 6 juillet journée spécial Pierre Richard. Comédien très sympathique que nous avons pu approcher l’espace d’une journée avec discussion sur sa carrière très longue. Il faut rappeler que ce comédien approche les 90 printemps

16/Le grand blond avec une chaussure noire d’yves Robert 1972. Ce film a été vu et revu mais personnellement je ne m’en lasse pas surtout que Pierre Richard nous a donnés quelques ficelles hilarantes sur le tournage. 5 étoiles.

17/Trop belle pour toi. De Bertrand Blier 1989. Un scénario convenu entre couple et amant mais le jeu des acteurs vaut la peine de le regarder. Avec Depardieu, Balasko, Carole Bouquet forment un trio infernal.

18/ Le distrait 1970 film de Pierre Richard. Son premier film a été une réussite et Pierre a tenu à assister à sa visualisation dans la grande salle de la coursive de la Rochelle (1000 places) bien remplies. Inutile de vous dire que lorsque l’on rigole à 1000 personnes, c’est mieux qu’à deux devant son poste de télé et là encore Pierre Richard n’a pas été avare d’anecdotes sur le tournage de ce film.

Nous avons eu le droit à un concert auparavant de l’orchestre de l’orchestre d’Harmonie de la ville de la Rochelle reprenant les musique des fims où Pierre Richard a tourné. Excellent concert.

Excellente soirée : 5 étoiles voir plus !!!

19/ Plusieurs courts métrages muets avec la star danoise Asta Nielsen réalisé en 1913.  Le visionnage de ces courts métrages a été accompagné en musique par les élèves du conservatoire de musique de la Rochelle et ensuite du pianiste jacques cambra. Une bien belle après-midi. 5 étoiles.

20/Prête à tout. Film usa de Gus Van Sant 1995 ; film avec Nicole Kidman. Scénario convenu avec une actrice aux beaux yeux bleus. Bon je vais être impartial et je donnerai 4 étoiles.

 

 

Voilà l’essentiel des films que j’ai vu à la Rochelle et j’ai évité de parler de certains longs métrages où ma présence a été en parti limité car je suis parti avant la fin du film.

 Je retiendrais que ce 51ème festival a été riche en belles découvertes et aussi en beaux films vus et revus. A l’année prochaine

FESTIVAL DE LA ROCHELLE 2022

par Pierre DURAND

                               FESTIVAL DE CINEMA LA ROCHELLE 50ème édition.

C’est avec un certain retard que j’ai refait mon compte rendu (perdu) sur ce merveilleux festival.

Sur 25 films visionnés, je vais retenir une dizaine de films découverts ou redécouverts, coup de coeur.

Avec l’hommage rendu à Alain Delon, je vais citer un film réalisé par Michel Boisrond en 1959 « le chemin des écoliers ». Magnifique film avec le jeune Alain Delain entouré de comédien comme Bourvil, Lino Ventura, Françoise Arnoult et paulette Dubosc. Film sur la France occupée et des français confrontés à l’occupation allemande et au marché noir.

Film réalisé par Luchino Visconti en 1963, « le Guepard » avec Burt Lancaster et Claudia Cardinal

Film réalisé par Jean-Pierre Melville en 1970 « Le cercle rouge » avec Yves Montand, ftrançois Périer, Bourvil.

Retour de Flamme de Serge Bromberg et ses vieux films restaurés. Un must.

Hommage à Audrey Hepburn.

Film réalisé par Billy Wilder en 1954 « Sabrina »  avec humprey Bogart, William Holden.

Film de Stanley Donen en 1957 « Drôle de frimousse » avec fred Astaire.

Film de Richard Lester réalisé en 1976 « la Rose et la flèche » avec Sean Connery.

 

Hommage à Pier Paolo Pasolini.

« les contes de Canterbury », « les mille et une nuit »

Hommage au cinéma Portugais.

Film réalisée par Maria de Medéiros en 2000 « Capitaine d’avril », film sur la révolution des œillets.

 

Film réalisé par Louis Malle réalisé en 1965, » Viva Maria » avec Brigitte Bardot et Jeanne Moreau

 

ET D’AUTRES FILMS…..ceci n’est qu’un échantillon des films qui m’ont marqués.

Alors vivement le prochain festival N° 51.

 

 

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FESTIVAL DE LA ROCHELLE 2019

Absent de ce festival, je n'ai pu évoqué les films.

Une particularité, c'est Prune Engler qui est partie à la retraite. Une retraite bien méritée.

Un départ fêté par toute l'équipe du Festival et aussi par notre ciné-club qui depuis 1993 est accueilli à bras ouverts par Prune Engler et son équipe.

Merci beaucoup Prune.

FESTIVAL DE LA ROCHELLE 2017

UN BEAU FESTIVAL EN PERSPECTIVE;

VOIR LE LIEN

Accueil | Festival International du Film de la Rochelle

Pierre C. Durand livre ses commentaires sur le Festival.

Très bon festival. j'ai vu plus de trente films et j'ai eu la joie de revoir certains chefs d'oeuvre mais aussi des films de nouveaux réalisateurs bourrés de talents.

Je vais écrire tout au long de cette semaine.

Une fois encore merci aux organisateurs et organisatrices dont Prune, Sylvie et Sophie principales intervenantes de ce beau festival. Normalement vous aurez régulièrement sur cette page des nouvelles de ce Festival. A BIENTOT

Pierre Durand

Avant, l'orchestre d'harmonie de La Rochelle nous a interprété quelques morceaux de musique de film dont "Goldfinger" car peut-être que James Bond était dans la salle ?

LE FILM D'OUVERTURE "BARBARA"

J'adore la chanteuse "Barbara". J'aime la chanteuse jeanne Balibar mais je suis plus réservé quant au film réalisé par son ex, Mathieu Amalric.

Ce qui m'a plu, ce sont les extraits de la grande chanteuse Barbara dans ce film. Ce qui m'a déplu, ce sont les plans, le jeu des acteurs. 

Non ce n'est pas un film que je recommanderai.

Désolé.

PCD

Samedi 1er juillet

Révolution école,1918-1939, un documentaire de Joanna Grudzinska.

Une belle réflexion sur l'école différente, une école où l'on pourrait enseigner différemment. A VOIR.

UNE FEMME DISPARAIT. un très bon film d'Hitchcock GB de 1937. L'un des premiers de ces films  que j'ai vu,  diffusés dans ce festival. film en noir et blanc, à voir consommer sans modération.

 

 

En avant première et présenté par le réalisateur, "RETOUR A MONTAUK", film de VOLKER SCHLONDORFF. Ce film a été méticuleusement façonné, un petit chef d'oeuvre. 

Dimanche 2 juillet

UN BEAU SOLEIL INTERIEUR, film de Claire Denis ne peut laisser indifférent. Nous avons Juliette Binoche qui joue avec sobriété mais avec conviction un rôle de femme qui recherche l'amour, le vrai. Un dialogue entre Gérard Depardieu en mage un peu déjanté et Juliette Binoche sera truculent; A VOIR

 

 

Le TAMBOUR de Volker Schlomdorff est un film que nous avions passé dans notre ciné-club dans les années 80. Ce réalisateur était très célèbre dans tous les ciné-clubs et pour cause. Un bon cinéma et une réalisation soignée de ses films ont permis à tous les cinéphiles d'apprécier son oeuvre.

 

LE RING Un film muet d'Alfred Hitchkock, Je ne connaissais pas les films muets de ce grand réalisateur et ce sont vraiment de belles pépites. A découvrir.

 

L'ENFANCE D'IVAN de Tarkovski. Un cinéma très dure, soigné dans le moindre détail. Une performance. A voir.

 

 

 

 

 

Lundi 3 juillet

HOMMAGE A JEAN GABIN

UN FRANCAIS NOMME GABIN DE Yves Jeuland et de François Aymé. Documentaire sur cet acteur incontournable du cinéma Français.

Bien réalisé à voir.

 

GUEULE D'AMOUR de Jean Grémillon. Un chef d'oeuvre.

 

FRENCH CANCAN DE Jean Renoir. Idem

 

LES ENCHAINES D'Alfred Hitchcock, histoire de revoir la belle Graec Kelly

 

 

 

 

 

 

Mardi 4 Juillet

PETIT PAYSAN
PETIT PAYSAN

POST PARTUM, un documentaire israélien sur les maternités de Silvina Landsmann. Bof, je n'ai pas apprécié

 

LES AMANTS DU CAPRICORNE. Un grand film d'Alfred Hitchcock.

 

PETIT PAYSAN d'un jeune réalisateur d'Hubert Charuel. Très belle réalisation, un film sur la vérité du monde agricole et ses carcans administratifs. A voir. Devait sortir fin août.

 

 

 

 

mercredi 5 juillet

NOTRE PAIN QUOTIDIEN DE King Vidor; Un beau film sur la crise de 1929 au USA. A VOIR

 

MOUNTAIN film Israélien de Yaelle Kayam. j'ai apprécié ce film dont l'intrigue se passe au cimetière du Mont des Oliviers à Jérusalem. A voir.

 

DE LA TERRE SUR LA LANGUE Film Colombien de Ruben Mendoza. Alors là ce n'est pas ma tasse de thé. Ce genre de cinéma pour moi est vulgaire. Un grand BOF;

 

 

 

 

jeudi 6 juillet

LE FILM DE BAZIN. Cet ancien critique des cahiers du cinéma voulait réaliser un court métrage sur les églises romanes du pays Saintongeais. Il n'a pu réaliser ce rêve car il est décédé en 1958 à l'âge de 40 ans.

Ce film a été repris et achevé par Pierre Hébert. Uniquement pour cinéphile pur et dur.

 

CINQ CAMERAS BRISES Film israélien d'Emad Burnat. Ce film est très beau et juste sur l'implantation des colonies Israéliennes et l'expropriation de palestiniens de leur village.

 

LES 39 MARCHES D'Alfred Hitchcock. Du beau film à suspense, rien à dire. Avoir.

 

LE ROI DES AULNES De Volker Schlomdorff. Un de ses plus beaux films sur la capacité à endoctriner les enfants. Sublime ! A VOIR.

 

 

 

 

 

 

 

Vendredi 7 juillet

LE SACRIFICE DE Andreï Tarkovski. Ce cinéaste est impeccable dans sa façon de filmer mais dur dans la composition de ses personnages. A voir mais âmes sensibles s'abstenir/

 

LAUREL ET HARDY présenté par Serge Bromberg. Rien à dire du cinéma burlesque pour petits et grands. Imaginez une salle de 1000 personnes rire aux éclats. Evidemment Serge Bromberg nous fait son numéro de bobine inflammable à brûler pour expliquer la disparition de milliers de films mais il n'y a pas que les incendies hélas mais aussi la stupidité de certains dirigeants de studio holliwoodien.

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Samedi 8 juillet

SIX PORTRAITS XXL D'Alain Cavalier. Du cinéma intimiste.Bof

 

L'OMBRE D'UN DOUTE D'Alfred Hitchcock. Un de mes préférés, le roi du suspens nous entraîne dans une affaire familiale scabreuse. A voir.

Jean Douchet, critique de cinéma est venu nous apporter quelques lumières sur ce film. Je suis parti au bout de vingt minutes. Je ne ferai pas de commentaires supplémentaires.

 

 

LAUREL ET HARDY 2ème partie. les trois courts métrages proposés sont de loin les meilleurs vus dans ce festival.

 

LAST ACTION HERO DE John MC Tiernan. Un très bon Swarzie. Revu avec plaisir

 

 

 

Dimanche 9 juillet

 

FLORIS Documentaire Rwandais de Kalimunda bien amené discrétement sur le génocide 20 ans après. Maintenant, c'et l'heure des commémorations, des fleurs sur les tombes des victimes. Le film montre une fleuriste et ses petits tracas quotidiens. A voir.

 

LAUREL ET HARDY 3ème partie moins intéressante que les deux précédentes.

 

FRENZY Un grand film d'Hitchcock REVU avec plaisir.

 

 

FIN DU FESTIVAL 2017

Un grand merci aux organisateurs et organisatrices de ce festival qui tous les ans nous comblent dans nos désirs de cinéphiles.

Merci à Prune, Sophie et Sylvie qui ont été omniprésentes tout au long de ces 10 jours.

FESTIVAL  DE LA ROCHELLE 2016

FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE LA ROCHELLE

Pendant 6 jours, j’ai vu 18 films. Sur les 200 films proposés, c’est peu me direz-vous mais j’ai mes yeux qui fatiguent vite et pour moi, c’est beaucoup.

Le film d’ouverture du Festival a marqué nos esprits. Ken Loach dans la réalisation de son dernier film, « Moi Daniel Black » a soulevé les lourdeurs administratives des institutions dites sociales.

Du bon cinéma et bien filmé, Ken Loach nous habitue à une excellente qualité de réalisation.

Le 2 juillet 2016

Nous avons élu domicile un appart hôtel « Pierre et vacances », bon plan car situé proche de tous les commerces et des cinémas. (15 minutes à pieds seulement). Cette chaine propose des studios confortables pour 4 personnes mais il vaut mieux être deux car autrement nous serions un peu à l’étroit.

Nous commençons notre journée par un film turque en avant-première. « Album de famille » réalisé par Mehmet Can Mertoglu. L’adoption d’un enfant en Turquie. Beaucoup d’humour dans ce film où la encore l’administration tatillonne est montrée du doigt. A voir

Puis un film de Jean Vigo, en présence de sa fille, Luce Vigo, vieille dame pleine d’humour. Nous avons revu avec beaucoup de plaisir « L’Atalante », film où nous avons un Michel Simon qui explose à l’écran. Les seconds rôles (Jean Dasté, Dita Parlo, Gilles Margaritis) sont présents dans cette fresque.

Pour clôturer cette journée, nous avons appréciés un bon Alberto Sordi, « Le Vigile » de Luigi Zampa, l’humour Italien rappelle les films de Don Camillo, un humour populaire, des histoires simples, les cocktails scénarios humoristiques/acteurs vedettes, seront monnaies courantes dans les années 1960/1970.

Fin de cette première journée avec cependant un petit détour que nous avons effectué, chez Ernest le glacier situé face à la Coursive.

Suite au prochain numéro.

Le dimanche 3 juillet 2016.

Petit oubli mais d’importance. J’ai oublié de parler de l’Orchestre d’Harmonie de la ville de La Rochelle qui nous ont

Petite promenade sur le port avant d’affronter les salles obscures pour notre grand plaisir.

SPARROWS. Film islandais de Rùnar Rùnarsson. La foule se pressait pour aller voir se film en avant-première.

Un adolescent est déraciné de la capitale pour aller vivre à la campagne chez son père et sa grand-mère. Belle histoire bien filmé avec les paysages superbes de la campagne islandaise. Une randonnée pédestre de 15 jours en 1987 m’avait permis de fouler le sol islandais. Le dépaysement était au rendez-vous. Le film aussi. A voir.

LE MAITRE DU LOGIS de Carl th. Dreyer. Un film muet de 1925, restauré et accompagné au piano par Jacques Cambra. Ce film retrace l’histoire d’un homme tyrannique avec sa famille et ses proches.  Son épouse épuisée quitte le domicile et c’est alors que le maître du logis réalise qu’il a une mauvaise conduite. Il fait alors un retour en arrière. Ce film est merveilleux et on le suit jusqu’au bout sans ennui. A voir ou à revoir.

PS Nous avions organisé dans notre ciné-club un week-end complet sur Carl TH Dreyer. C’est dire l’importance que nous attachions à ce réalisateur.

Cleo de 5 a 7 ; Ah ! jubilatoire… revoir ce film de 1961. Corinne Marchand est à la fois émouvante et légère dans ce rôle de présumé malade. Une apparition de Michel Legrand, jeune mais aussi talentueux que de nos jours nous a ravis, ah ce grand musicien ! ( nous l’avions vu dans une église d’un village de Bourgogne, lui et son piano ne faisant qu’un)

Nous avons ressenti une joie immense lorsqu’il a accompagné sur la scène de la Coursive  Agnès Varda (mémoire de leur passé puis chant), un grand moment dans ce Festival.

LE ROI DE L’EVASION Film d’Alain Guiraudie.

Bon allez c’est amusant mais sans plus.

Et puis après il est l’heure de dormir, bonne nuit les petits et je descends de mon échelle…. Vous connaissez tous la suite !

Suite au prochain numéro

Lundi 4 juillet

Séparation entre ma compagne et moi, nous décidons de voir chacun des films en fonction de nos envies et de nos goûts.

LES COLLECTIONS DE MITHAT BEY de Pelin Esmer, film turque sur les problèmes des quartiers en cours de rénovation, les expropriations et le déracinement des personnes âgées. Film à la réalisation simple mais efficace. A voir.

LE MYSTERE VON BÜLOW de Barbet Schroeder. Réalisation soignée d’un grand cinéaste qui nous amène aux cadrages minutieux, aux scénarios ciselés, un must qu’il faut revoir ou voir.

LA FIN DU JOUR de Julien Duvivier. Deux comédiens crèvent l’écran ; il s’agit de Louis Jouvet et de Michel Simon. Grandiose ! ah ce Jouvet avec sa diction claire et puissante, son regard profond ne laisse pas indifférent Le truculent Michel Simon lui donne la réplique et c’est rien que du bonheur.

A voir absolument

Repos après car mes yeux ne supportent pas les écrans plus de quelques heures par jour. C’est déjà bien.

Suite au prochain numéro

MARDI 5 Juillet 2016

Deux films pour ce qui me concerne (car mes yeux me piquent) et une sortie dans une tour de La Rochelle, « La Lanterne » pour visiter l’exposition des films de Carl TH Dreyer

MAFIOSO de Alberto Lattuada avec Alberto Sordi.

Du grand cinéma Italien sur un sujet qui « fâche », la mafia. Abordé avec beaucoup d’humour ce film retrace la vie d’un cadre d’origine sicilienne venant rendre visite à sa famille. Il sera vite pris dans l’engrenage de la pieuvre mafieuse.

A voir ou revoir.

LE POIDS DU DESHONNEUR De Barbet Schroeder. Encore un film sur les méandres de la justice américaine. Rien à dire, du beau cinéma. Je dois dire que dès que je suis rentré chez moi, j’ai commandé à la FNAC 4 films de Barbet Schroeder dont More, La vallée, Maîtresse avec la sublime Bulle Ogier et Amnésia film récent.

L’après-midi a été consacré à la visite de la Tour Célèbre « la Lanterne où se tenait l’exposition de Carl TH Dreyer. Belles photos dans un cadre prestigieux.

Je reprendrais une phrase célèbre d’un de mes descendants, le corsaire Pierre Durand qui aurait bouté les anglais hors de La Rochelle et qui aurait dit « Ah ça ira, ça ira, les Anglais à la lanterne, ah ça ira, ça ira les anglais on les pendra ! cent ans après, un pur plagiaire repris la chanson à la révolution Française de mon ancêtre et remplaça le mot anglais par celui d’aristocrate. Peuh !

Petit repas pris à l’appart-hôtel car le matin nous avions acheté du très bon poisson au marché avec des crevettes roses bio de Madagascar, langoustines hum d’une rare fraicheur. Rien que du très bon car marre des restaurants qui vous font croire qu’ils se servent chez les petits pêcheurs du coin et lorsque vous voyez leurs poubelles au fond des cours, vous avez des emballages made in Espagne, poissons d’élevage ! Un peu comme à Lyon avec certains bouchons aux devantures rutilantes mais à l’arrière cuisine il faut avoir le cœur bien accroché. Nous vivons maintenant dans un monde de mensonges et d’arnaques à tous les niveaux. Misère !

Suite au prochain numéro

Mercredi 6 juillet. Notre dernier jour de festival car ma compagne retravaille bientôt.

J’ai sélectionné trois films

LE PREMIER MASCULIN/FEMININ DE jean Luc Godard

Ce film, je l’ai vu trois fois depuis sa sortie.

La première fois dans le cinéma où mon oncle était gérant. Je devais avoir 14 ans et Jean Luc Godard m’ennuyait. C’était l’époque où l’action pour moi était importante avec des films de John Wayne, des péplums comme celui sur Ben Hur etc. Comme je ne payais pas souvent ma place, je me mettais dans un petit coin, dans les premiers rangs car j’étais très myope et je regardais presque tous les films qui passaient. Ma tante était la caissière et mon grand-père le contrôleur de billets mais aussi le videur. C’était un colosse qui avait travaillé dans le bâtiment mais aussi comme terrassier. Cet ancien brave, blessé deux fois à la guerre de 14/18 était redoutable et reconduisait manu militari les fauteurs de troubles dont les « blousons noirs » à la porte du cinéma.

Lorsque j’ai vu ce film, j’avais aussi un voisin, ingénieur indépendant de son état, qui ne cachait pas ses idées au vu de la photo d’un certain Adolf H affichée devant son bureau. A la libération, il a sauvé sa peau grâce à un cousin chef d’un réseau de résistants, qui lui est mort sous les balles des nazies lors de la délivrance de la ville d’Aulnay Sous Bois, aux côtés des forces alliées

Au bout d’une heure, ce voisin s’est levé de son siège et en sortant a crié son indignation sur ce film en parlant notamment de francs-maçons. A l’époque je n’étais pas bien au courant de toutes ses subtilités politiques et en relatant l’incident à la maison, j’ai demandé à mon père qui lui était maçon de son métier la signification du terme franc-maçon ? Bref l’explication m’a laissé de marbre et par la suite adolescent, j’ai évité de voir les films de JL Godard

La deuxième fois c’était au ciné-club de notre entreprise mais je n’aimais pas Godard, parti pris lié à mon camarade secrétaire du ciné-club car en tant que président, j’étais souvent son opposant sur les choix des films alors que nous nous entendions par ailleurs comme larrons en foire.

Enfin la troisième fois, en ce mercredi 6 juillet, j’ai apprécié ce film, la justesse du scénario et les différents cadrages sur Paris. Comme quoi….

LE FESTIVAL TOUTE L’ANNEE

TRES Bien, ces cinq courts métrages, et en les voyant, nous pouvons nous dire que certains jeunes iront loin dans l’écriture et la réalisation des films.

Enfin clôture pour moi avec le film « TOUR DE France » de Rachid Djaïdani en avant-première.

Ce cinéaste est prometteur et faire tourner Gérard Depardieu maintenant doit relever d’un tour de magie. Enfin bref, le résultat est réussi

A voir dès sa sortie en novembre dans les salles de vos cinémas préférés.

Voilà mon festival à moi est terminé, nous rentrons à la maison le jeudi 7 juillet, tiens jour anniversaire où le 7 juillet 1980, j’ai arrêté de fumer.

 

En tous les cas ce festival est merveilleux et pour tous les cinéphiles, c’est un véritable paradis !

 Bonjour à tous.

 

Dans 3 semaines nous serons certainement dans une salle de cinéma à La Rochelle pour notre plus grand bonheur.

 

Ci-dessous vous trouverez un message de Prune Engler concernant notre rendez-vous annuel qui aura lieu

le vendredi 1er juillet à 17h, même lieu que l'année dernière.

 

J'attire votre attention sur la phrase que j'ai grossie et noircie concernant les cartes pass et les documents d'information.

Merci de respecter la demande de Prune et de ne pas chercher à vous les procurer avant la réunion.

Ceci ne concerne pas la grille du programme que vous trouverez sur les présentoirs de la Coursive.

 

Si certains parmi vous ne peuvent être à La Rochelle le vendredi soir prévenez-nous par retour de mail afin que nous récupérions

vos sacs et convenions d'un rendez-vous pour vous les remettre. Contactez nous si vous avez un souci.

 

Merci de votre attention et à très bientôt.

 

 

 

FESTIVAL DE LA ROCHELLE 2015

FESTIVAL DE LA ROCHELLE 2015 un bon cru (commentaires de Danielle et Henri)

 

 

Encore une édition (la 43ème) qui a tenu toutes ses promesses et engendré également des frustrations, car comment voir tous ces films proposés (235) sans en perdre le boire, le manger et le repos.

 

Parmi ceux que nous avons choisis notre préféré fut celui d’Heddy Honigmann :

Around the world in 50 concerts  (Pays-Bas/Finlande/Suède/Australie), documentaire réalisé à l’occasion du 125ème anniversaire de l’Orchestre Royal de Concertgebouw (Pays-Bas), lors de 3 concerts donnés en tournée internationale.

Ce documentaire profondément humain, parfois drôle, très émouvant, est un bel hommage à la musique classique, aux musiciens et aux amoureux de la musique. Les séquences des concerts alliées aux témoignages de chacun apportent beaucoup d’émotion et d’espoir en l’Humanité.

 

Parmi les films inédits de la section « Ici et ailleurs » nous avons apprécié : Le bouton de nacre de Patricio Guzman (Espagne), Chorus de François Delisle (Québec, Canada), Le trésor de Corneliu Porumboiu (Roumanie) et Tsamo d’Anastasia Lapsui et Markku Lehmuskallio (Finlande).

 

Nous avons découvert des films de :

 -Hou Hsiao-hsien : Le maître de marionnettes, Les garçons de Fengkuei et Three times

Ce cinéaste nous parle de l’histoire de Taiwan mais aussi du présent et de ses dures réalités

- Alexander Mackendrick (dont nous connaissions Whisky à gogo). Ses films : Maggie, Tueurs de dames et Cyclone à la Jamaïque sont réjouissants et parfois grinçants mais c’est une atmosphère oppressante qui domine dans Le grand chantage qui nous entraîne dans le Manhattan interlope des journaux, théâtres et clubs, faune mondaine faite de fauves et de brebis.

 

Beaucoup du Ciné-club ont apprécié les films du cinéma géorgien que nous avions découverts au Festival du film d’Arras.

 

Nous avons eu enfin le plaisir de revoir Y aura-t-il de la neige à Noël de Sandrine Veysset,

beau portrait de femme qui se bat afin d’adoucir la vie de ses 7 enfants en leur donnant tout son amour et sa tendresse.

 

Il est difficile d’évoquer tous les films que nous avons vus. Ici se retrouvent ceux qui nous ont le plus marqués.

 

MERCI A L’EQUIPE DU FESTIVAL DE NOUS AVOIR FAIT DECOUVRIR TOUS CES TRESORS, VIVEMENT 2016.

 

                                                                                  Henri et Danielle

Les addhérents du ciné club autour de Prune Engler. En prime "pitre," Patrick.
Les addhérents du ciné club autour de Prune Engler. En prime "pitre," Patrick.

 

Chers amis,

Nous terminons cette 43ème édition du Festival joyeusement et avec le sentiment du devoir accompli puisqu'elle nous a permis de battre notre record absolu de fréquentation !
En effet, après les dernières projections du dimanche 5 juillet, nous totalisions, pour 387 séances sur 12 écrans et 235 films programmés, un nombre total de
85 283 entrées !

Une programmation très appréciée, une organisation impeccable, un soleil généreux qui appelait à la fraîcheur dans les salles, une atmosphère particulièrement amicale et bon enfant ont fait du Festival 2015 une très belle réussite.
En dehors des projections, les rencontres publiques avec la famille Makhmalbaf, les jeunes cinéastes géorgiens, le cinéma d’animation chinois, Marco Bellocchio, Olivier Assayas et l’exquise Claudia Cardinale ont été suivies par un public attentif, curieux, chaleureux et enthousiaste.
Les évènements musicaux - ciné-concerts Louis Feuillade/Musidora par le pianiste Jacques Cambra, Retour de Flamme avec Serge Bromberg,  Aquaserge et Jozef van Wissem à La Sirène, la leçon de musique de Jean-Claude Petit avec Jean-Paul Rappeneau, le concert de l’orchestre Colonne dirigé par Laurent Petitgirard - ont fait salles combles.
Les projections des 5 courts métrages produits par le Festival ont rencontré un vif intérêt. Ils vivront désormais leur vie sur d’autres écrans.
Les animations proposées à la fin des séances enfants, également très fréquentées, ont renforcé la merveilleuse découverte du cinéma d’animation chinois.
Les soirées dédiées à nos grands partenaires dans le théâtre de La Coursive ont souvent rassemblé 1000 spectateurs alors que les autres salles étaient, à la même heure, souvent complètes…

Vous pouvez retrouver en ligne, sur notre site, les photos et les vidéos enregistrées tout au long de cette édition.

Nous saluons et remercions les cinéastes, actrices et acteurs, musiciens, journalistes, partenaires qui se sont succédés pendant ces 10 journées exceptionnelles :

Nassim Amaouche et Laetitia Casta pour Des Apaches présenté en première mondiale, Serge Forever pour un ciné-concert Louis Feuillade à la Sirène, Danielle Arbid et Manal Issa, Vincent Lacoste, Damien Chapelle, Paul Hamy pour Peur de rien présenté en avant-première, Olivier Assayas pour son hommage, Marco Bellocchio pour son hommage, Samuel Blumenfeld pour l’analyse de Sorcerer de William Friedkin, Serge Bromberg pour un ciné-concert sur Cauchemars et superstitions de Victor Fleming, Jacques Cambra pour les ciné-concerts Louis Feuillade dont Vendémiaire (2h28 !), Claudia Cardinale pour la rétrospective Luchino Visconti et L’Audience de Marco Ferreri, Lou Castel pour les hommages à Olivier Assayas et à Marco Bellocchio, Alain Cavalier pour Le Caravage présenté en première mondiale, Patrick Cazals pour la rétrospective Musidora, Louise de Champfleury et Dominique Dindinaud pour Histoire de cinémas, Davy Chou pour Cambodia 2099, Michel Ciment pour l’hommage à Marco Bellocchio, François Delisle pour Le Météore et Chorus, Jérôme Deschamps pour Trafic de Jacques Tati, Sophie Erbs pour Le Lendemain de Magnus von Horn, Philippe Faucon pour Fatima, Fabienne et Marie Féret en amies, Philippe Fernandez pour Cosmodrama, Sophie Fillières en amie, Louis Garrel pour Les Deux Amis, Stéphane Goudet pour l’hommage à la famille Makhmalbaf, Patrick et Emilie Grandperret, Robinson Stévenin pour Fui banquero, Teona Grenade pour Notre enfance à Tbilissi, Jose Luis Guerin pour Le Saphir de Saint-Louis, Patricio Guzman pour Le Bouton de nacre, Nicolas Habas pour Le Corps de la ville, Heddy Honigmann pour Around The World in 50 concerts, Chinlin Hsieh pour Flowers of Taipei, Xavier Kawa-Topor pour la rencontre autour du cinéma d’animation chinois, Levan Koguashvili pour la découverte du cinéma géorgien avec Street Days et Blind Dates, Marie-Claire Kuo pour la rétrospective des Trésors des studios d’art de Shanghai, Jean-Marc Lalanne pour l’hommage à Olivier Assayas,Vincent Lapize pour Correspondances, Markku Lehmuskallio pour Tsamo, Gaël Lépingle pour La Nuit tombée, Mohsen Makhmalbaf, Marziyeh Meshkiny, Maysam Makhmalbaf pour un hommage à toute la famille Makhmalbaf, Yolande Moreau pour Le Tout Nouveau Testament, Christian Paboeuf pour les ciné-concerts avec les lycéens de la région, Dominique Païni pour la rétrospective Louis Feuillade, Bernard Payen pour Mister H, Jean-Gabriel Périot pour Une jeunesse allemande, François Perlier pour Le Cri du milan noir et Dans mon quartier, il y a un homme qui danse sans musique, Jean-Claude Petit pour une leçon de musique animée par Stéphane Lerouge, Laurent Petitgirard et l'Orchestre Colonne pour une masterclass, Jean-Paul Rappeneau pour Le Hussard sur le toit, Clara Royer pour Le Fils de Saul, Ghassan Salhab pour La Vallée, Laurence Schifano pour la rencontre autour de Luchino Visconti, Barbet Schroeder pour Amnesia, Nicolas Seydoux pour Vendémiaire et les 120 ans de Gaumont, Jean-François Stévenin en ami, Nicolas Thévenin pour la rencontre autour de Luchino Visconti, Giorgio Treves pour Luchino Visconti le chemin de la recherche, Peter van Houten pour La Vie de Jean-Marie, Jozef van Wissem pour un concert à la Sirène, Sandrine Veysset et Dominique Reymond pour Y aura-t-il de la neige à Noël ?, Pascal-Alex Vincent pour Psilocybe et enfin Stephan Zaubitzer pour l’exposition photographique Grands écrans.

Le Festival remercie vivement tous ses partenaires et ceux, nombreux, qui l’ont aidé à rassembler les conditions artistiques, financières et techniques nécessaires à cette réussite.

Et il vous donne rendez-vous pour sa 44ème édition qui se tiendra du 1er au 10 juillet 2016 !

D'ici là, nous vous souhaitons une très belle année cinématographique dans vos salles préférées.

L’équipe du Festival

  


DU 27 JUIN AU 6 JUILLET 2014

LA SYMPATHIQUE EQUIPE DU FESTIVAL
LA SYMPATHIQUE EQUIPE DU FESTIVAL

EN CLIQUANT SUR LE LIEN BLEU CI-DESSOUS VOUS AVEZ LE SITE DU FESTIVAL.

GRILLE DU PROGRAMME DETAILLE A PARTIR DU 16 JUIN 2014

LA GRILLE DES PROGRAMMES DETAILLES EST SORTIE

Accueil | Festival International du Film de la Rochelle
www.festival-larochelle.org/
A la fin du mois de juin, cette manifestation est le rendez-vous de la cinéphilie autour d'hommages et de rétrospectives. Charente-Maritime (17), France.

 

La grille horaires 2014 est disponible !!!

CLIQUEZ AU DESSUS SUR LA PARTIE ROUGE "la grille horaire 2014 est disponible !!!

LA COURSIVE A LA ROCHELLE
LA COURSIVE A LA ROCHELLE

La 42ème édition aura lieu du vendredi 27 juin au lundi 7 juillet 2014 avec une grande rétrospective Howard Hawks,

des films muets soviétiques présentés en ciné-concert à l'occasion des 50 ans de la Cinémathèque de Toulouse,

 !La 42ème édition aura lieu du vendredi 27 juin au lundi 7 juillet 2014 avec une grande rétrospective Howard Hawks,

des films muets soviétiques présentés en ciné-concert à l'occasion des 50 ans de la Cinémathèque de Toulouse,

des hommages à Hanna Schygulla et à Pippo Delbono, au cinéma d'animation tchèque... A suivre !

PREMIER COMPTE RENDU SUR LE 42EME FESTIVAL DU FILM INTERNATIONAL DE LA ROCHELLE

VU PAR PIERRE DURAND.

 

Bonjour,

 

Je me suis rendu à ce merveilleux festival du samedi 28 juin  au mercredi  2 juillet. Plusieurs bonnes surprises m’attendaient.

L’âge d’or des films muets du cinéma  soviétique.

L’hommage rendu à Bernadette Laffont

Les films d’howard Hawks

Quelque chefs d’œuvres d’Alain Resnais

Et les films de réalisateurs moins connus mais aussi appréciable.

Voyons en détail les films que j’ai vus.

SAMEDI 28 JUIN

D’abord j’ai commencé par un film muet soviétique « TROIS DANS UN SOUS SOL » d’Abram ROOM tourné en 1927. Il faut le voir pour le croire mais la censure à l’époque était pratiquement inexistante et cela a duré jusqu’en 1930 où un certain Joseph Staline a pris le pouvoir et a choisi de centraliser les productions cinématographiques avec des verrous. Au piano de cette séance cinéma musicale, il y avait Jacques Cambra, bien connu  et apprécié par les festivaliers.

Puis une belle production d’howard hawks « LA CAPTIVE AUX YEUX CLAIRS » tourné en 1952 m’a ébloui par les tons de noirs et blancs rendant les paysages sublimes.

Au passage deux films que j’ai déjà vus mais qui méritent d’être soulignés dans cette journée.

« PAS SUR LA BOUCHE » d’Alain Resnais et « C’EST LE BOUQUET » de Jeanne LABRUNE

DIMANCHE 29 JUIN

Une leçon de musique de BRUNO FONTAINE animé par Stéphane LEROUGE et en présence de Jeanne LABRUNE

Et du réalisateur HAWKS, j’ai revu avec plaisir « L’IMPOSSIBLE MONSIEUR BEBE » et « UNE FILLE DANS CHAQUE PORT »

Et vint le soir tant attendu de revoir avec plaisir le film de Nelly KAPLAN « LA FIANCEE DU PIRATE »

Avec la regretté BERNADETTE LAFONT

LUNDI 30 JUIN

C’est une journée promenade avec la visualisation de deux films soviétiques seulement mais de qualité. Et puis un documentaire réussi sur Bernadette LAFONT , « BERNADETTE LAFONT EXACTEMENT » réalisé par André D LABARTHE, un de ses proches amis et voisins.

Tout d’abord un grand merci à la cinémathèque de TOULOUSE qui a su rénové ces chefs d’œuvre mais aussi la cinémathèque de Berlin qui a prété une copie neuve du « Cuirassé POTEMKINE » le chef d’œuvre D’EISENSTEIN, dont j’avais vu auparavant à deux reprises des copies usées. Ce film a été présenté par Madame Natacha LAURENT, directrice de la cinémathèque de Toulouse.

Et le second film « UN DEBRIS DE L’EMPIRE » de FRIEDRICH ERMLER.

MARDI 1er juillet

Pour la matinée je me suis délecté d’un film muet soviétique « LA FETE DE SAINT JORGEN »  de YAKOV PROTAZANOV. A voir et à revoir avec son humour grinçant, ce film fait partie des plus drôles de sa génération.

« LA BELLE JEUNESSE » de Jaime Rosales. Un film qu’il faut voir pour son histoire hélas très contemporaine.

« L’AMOUR, C’EST GAI, L’AMOUR, C’EST TRISTE » de Jean Daniel POLLET, ce film a une odeur de fraicheur lié à Mai 1968, un je ne sais quoi d’immoral et ce pour notre plus grand bonheur.

MERCREDI 2 JUILLET

« LES RENDEZ VOUS DU DIABLE »,est un excellent  documentaire d’HAROUN TAZIEFF accompagné musicalement par Orval Carlos Sibelius. Que du bonheur avec cette musique de fonds et il faut rendre hommage à la témérité d’Haroun Tazieff qui a pris quelques risques pour nous offrir de superbes images de volcans en irruption dans le monde entier. Haroun Tazieff était venu présenter  son film « LAC DE FEU «  le 20 mai 1960 à notre ciné club au cinéma « LE DAUPHIN » situé rue Lafayette.

Un repas commun avec tous les adhérents de notre ciné club a été organisé par nos amis responsables et il y avait une bonne ambiance au lieu dit « le jardin des canards ».

 

Retour au cinéma pour voir le « SERGENT YORK » d’Howard HAWKS. Ce film est intense en émotion et j’ai personnellement versé une petite larme.

 

Enfin le dernier film, « LA MARCHE A SUIVRE » de J FRANCOIS CASSY m’a laissé sur ma faim et sur le mot fin en ce qui me concerne.

 

Le lendemain matin retour dans ma campagne en me disant je reviendrais l’année prochaine

 

 

 

 

Adresse utile.

Cinémathèque de Toulouse — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Cinémathèque_de_Toulouse
La cinémathèque de Toulouse est une institution fondée dans les années 1960 par Raymond Borde (1920-2004) et dédiée à la mémoire du cinéma . Elle est située ...

LE CUIRASSE POTEMKINE

La fiancée du pirate de Nelly Kaplan.(Hommage à Bernadette Lafont).

A VOIR LE DIMANCHE 29 JUIN
A VOIR LE DIMANCHE 29 JUIN

FESTIVAL DE LA ROCHELLE 2013

FESTIVAL DE LA ROCHELLE
FESTIVAL DE LA ROCHELLE

ON DISTINGUE CLAIREMENT AU 5ème RANG A GAUCHE, HENRI, DANIELLE, PHILIPPE, JEANNINE, PATRICK, EITAM,EDITH ET TOUS LES AUTRES !!!

PRUNE ENGLER, RESPONSABLE DU FESTIVAL.
PRUNE ENGLER, RESPONSABLE DU FESTIVAL.

LE COMPTE RENDU DU FESTIVAL 2013

 

Chers spectateurs, professionnels, partenaires,
Chers amis du Festival International du Film de La Rochelle,

Vous l’avez, comme nous, sans doute remarqué : tous les bilans envoyés en fin de festival par leurs organisateurs s’avèrent globalement positifs. Nous n’échapperons pas à la règle.
Mais si vous nous avez rejoints entre le 28 juin et le 8 juillet derniers, vous saurez que c’est vrai : la 41ème édition fut une réussite.
Voici quelques chiffres pour en attester :
Avec 80 225 entrées, le Festival réalise sa 3ème meilleure saison après 2012 et 2007.
392 séances ont été proposées aux festivaliers et les rencontres avec les cinéastes et musiciens en ont réuni 2 987.

Les cinéastes, acteurs et actrices, musiciens et musiciennes suivants étaient avec nous :

Kaveh Bakhtiari pour “L’Escale”, Tortsten Böttcher et Christine Ott pour une résidence musicale et des ciné-concerts, Serge Bozon pour “Tip Top”, Serge Bromberg et Jacques Cambra pour accompagner les films de Max Linder, Valeria Bruni Tedeschi pour “Un Château en Italie” et un hommage, Dominique Cabrera pour “Ô heureux jours”, Benoît Chieux pour “Tante Hilda”, Amélie Compain et Jean Rubak pour “Les Bouteilles à la mer” et “Joyeux microbes”, Denis Côté pour “Vic + Flo ont vu un ours”, Isabelle Czajka et Helena Noguerra pour “La Vie domestique”, Mahamat-Saleh Haroun et Souleymane Démé pour “Grigris”, Arnaud des Pallières pour “Michael Kohlhaas”, Jérôme Deschamps pour “Soigne ton gauche” et “Jour de fête”, Andreas Dresen pour un hommage, Teboho Edkins pour “Gangster Project”, Pelin Esmer pour “La Tour de guet”, Raphaël Etienne pour “Lazare”, Sarah Franco-Ferrer pour “Au pays des merveilles”, René Féret, Marie Féret et Frédéric Pierrot pour “Le Prochain film”, Mira Fornay pour “My Dog Killer”, Pierre-Luc Granjon pour “La Grosse bête”, Jose Luis Guerin pour un hommage, Fernando Guzzoni pour “Carne de perro”, Heddy Honigmann pour un hommage, Kamal K.M. pour “I.D.”, Andrew Kötting pour “Swandown”, Nicolas Lasnibat pour “Tout ce que tu ne peux pas laisser derrière toi”, Caroline Leaf pour un hommage, Sebastian Lelio pour "Gloria" et un hommage, Justine Malle et Didier Bezace pour “Jeunesse”, Pia Marais pour “Layla”, Florence Miailhe pour un hommage, Sarah Miles pour “La Fille de Ryan”, Avi Mograbi pour “Dans un jardin je suis entré”, Yolande Moreau pour “Henri”, Michel Piccoli pour lui-même, Sébastien Pilote pour “Le Démantèlement”, Katell Quillévéré pour “Suzanne”, Ivan Rabbiosi pour “Michel”, Jérémie Reichenbach pour “Quand passe le train”, Djamila Sahraoui pour “Yema”, Georges Schwizgebel pour un hommage, Marie-Elsa Sgualdo pour “On ne peux pas tout faire en même temps...”, Tamara Stepanyan pour “Embers”, Justine Triet pour “La Bataille de Solférino”, Jean Claude Vannier pour une rencontre musicale, Pascal-Alex Vincent pour “Mon quartier c’est...”, Shannon Walsh pour “Jeppe on a Friday” et Rebecca Zlotowski pour “Grand Central”.

La merveilleuse redécouverte des nombreux films de
Max Linder a créé l’occasion de ciné-concerts en tous genres : avec les lycéens musiciens de la Région Poitou-Charentes sous la houlette de Christine Ott, ondiste célèbre laquelle a également accompagné “Tabou” et “Nanouk l’Esquimau”, avec les élèves du Conservatoire de Musique de La Rochelle et leur professeur Sabrina Rivière, avec aussi un “Retour de Flamme” concocté par son créateur, Serge Bromberg et, bien sûr, les brillantes improvisations quotidiennes de Jacques Cambra qui chaque année partage avec le public son amour pour les films muets du Festival. Les French Cowboy & the One ont joué à La Sirène après la projection de “Panique au village” la musique qu’ils avaient composée pour lui et Jean Claude Vannier a délivré à La Coursive quelques secrets de fabrication de ses musiques de films.
De grands films récemment restaurés ont fait l’objet de soirées exceptionnelles ainsi que d’autres, en avant-première, qui étaient présentés par leurs auteurs.
La
Nuit Blanche passée entièrement dans des trains américains, polonais, indiens, italiens et lyonnais s’est terminée en beauté sur le vieux port autour d’un petit déjeuner partagé par des centaines de noctambules cinéphiles, fatigués mais heureux.
Le
Cinéma chilien a attisé la curiosité de nombreux spectateurs et connu un très grand succès et les courts métrages de peinture animée, programmés avant les films, ont aussi joué leur rôle de découverte d’un aspect peu connu du cinéma d’animation.
Billy Wilder a souvent affiché complet, certains festivaliers n’étaient venus que pour lui !
Les enfants ont profité de leur mini-Festival puisque 3 séances, souvent complètes également, leur étaient réservées chaque jour.
Et puis nous avons fêté le centenaire du
cinéma indien avec des films emblématiques réalisés entre 1913 et 2013.

Les professionnels ont été particulièrement nombreux cette année à assister au Festival, entre les exploitants qui profitaient des multiples rendez-vous qui leur étaient destinés (ACOR, ADRC, GNCR, Les Ailes du Désir) rattrapaient des films de Cannes ou prenaient de l’avance sur les sorties de la rentrée, les enseignants directement concernés par les 2 jours consacrés aux Pôles d’éducation à l’image, les journalistes locaux et nationaux, les responsables de ciné-clubs, de festivals, de cinémathèques, les distributeurs et les producteurs de films... Tous se mêlaient au public pour des séances animées par la ferveur du 7ème art.

Beaucoup de souvenirs sont rassemblés sur le site du Festival :
photos, films des rencontres.

Le Festival doit son succès à son public bien sûr, mais aussi aux très nombreux
partenaires, institutionnels et privés qui le soutiennent à l’année. Qu’ils soient tous, ici, remerciés.

Nous vous donnons rendez-vous en 2014, du vendredi 27 juin au lundi 7 juillet, pour notre 42ème édition et vous souhaitons, d’ici là, une très belle année cinématographique.

L'équipe du festival

FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM

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Du vendredi 28 juin 2013 au dimanche 7 juillet 2013
quai Simenon
17000 La Rochelle
Téléphone :
05 46 52 28 96
Le Festival International du Film de La Rochelle, c'est une histoire d'amour à trois entre une ville au début de l'été, un public curieux et enthousiaste, et des films venus du monde entier.
Créé en 1973, le Festival International du Film de La Rochelle a fêté ses 40 ans en 2012 avec la projection de 142 longs métrages, 61 courts métrages, tout cela présentés à 82 429 spectateurs au cours de 389 séances.

Le Festival International du Film de La Rochelle célèbrera sa 41ème édition du 28 juin au 7 juillet 2013.

LE FESTIVAL DES FILMS DE LA ROCHELLE

Le Festival international du film de La Rochelle est un festival de cinéma, créé en 1973, qui se déroule chaque année pendant dix jours au début du mois de juillet. Il est organisé par l'Association du Festival International du Film de La Rochelle (FIF-LR).

Caractérisé par l'absence de compétition, le festival présente chaque année plusieurs rétrospectives consacrées à des réalisateurs ou des acteurs, en combinant le cinéma de patrimoine et les œuvres de cinéastes contemporains. Une section est également dédiée à la découverte d'auteurs encore peu connus.

En 2007, la 35e édition de ce festival a présenté 250 films qui ont été vus par 81 305 spectateurs, soit la plus grande affluence de l'histoire du festival.

Serge Bromberg avec Sylvie Pras, de l'équipe du festival international du film de la Rochelle, lors d'une présentation d'une séance. Serge Bromberg fait toujours une petite démonstration entre un film de sécurité et un film normal, ce dernier s'enflammant immédiatement.

Lien externe

Sur les autres projets Wikimedia :

 

 

DU 1ER AU 11 JUILLET (voir le lien ci dessus)

 

Si vous ne pouvez pas visualiser cet email, cliquez ici

 

Festival International du film de La Rochelle


Festival International du film de La Rochelle

vous souhaite UNE EXCELLENTE ANNÉE 2011!
A Very Happy New Year !


Du 1er au 10 juillet 2011, nous vous proposerons, entre autres :

Buster Keaton, tous les jours, en ciné-concerts
Daily Buster Keaton films with live musical accompaniment

L’intégrale, en 16 films du grand cinéaste anglais David Lean
The full 16-film back catalogue of the great British filmmaker David Lean

Carlos Reygadas et Juan Carlos Rulfo, cinéastes mexicains et universels
Mexican and universal directors Carlos Reygadas and Juan Carlos Rulfo

Un hommage et la première grande expo dédiés à Jean-Claude Carrière avec, entre autres, les six films écrits en collaboration avec Luis Buñuel
A tribute and the first major exhibition dedicated to Jean-Claude Carrière featuring, among others, six films co-written with Luis Buñuel

Koji Yamamura et ses films d’animation étonnants
Koji Yamamura and his extraordinary animated films

Erik Løchen et son petit-fils Joachim Trier : une saga du cinéma norvégien
Erik Løchen and his grandson Joachim Trier : a saga of Norwegian cinema

Le québécois Denis Côté, tous ses films y compris le tout nouveau “Curling”
Full works of Quebec filmmaker Denis Côté, including his latest film “Curling”

www.festival-larochelle.org

Frigo l’esquimau (1922) Buster Keaton, Eddie Cline