Du 1er au 10 juillet 2016, retrouvons-nous dans les salles de La Rochelle pour la 44ème édition du Festival International du
Film
avec les chefs-d’oeuvre de Carl
Theodor Dreyer (Copenhague, 1889-1968) dont "La passion de Jeanne d’Arc", "Ordet" et "Gertrud",
tous ceux de Jean
Vigo (Paris, 1905-1934) dont "Zéro de conduite" et "L’Atalante", qui seront présentés par sa fille, Luce,
et les comédies italiennes incontournables ou méconnues incarnées par l'immense Alberto
Sordi (Rome, 1920-2003).
Nous aurons le très grand honneur de recevoir Alain
Guiraudie, Barbet Schroeder ainsi que Frederick
Wiseman avec un grand nombre de leurs films
et aussi Yesim
Ustaoglu et les femmes
cinéastes turques pour une découverte qui leur sera consacrée.
La programmation est encore en cours, nous vous tiendrons au courant régulièrement de son avancement.
FESTIVAL DE LA ROCHELLE 2022
EN ATTENDANT LA PROGRAMATION VOICI LE LIEN
UN BEAU FESTIVAL EN PERSPECTIVE;
VOIR LE LIEN
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FESTIVAL DE LA ROCHELLE 2019
Absent de ce festival, je n'ai pu évoqué les films.
Une particularité, c'est Prune Engler qui est partie à la retraite. Une retraite bien méritée.
Un départ fêté par toute l'équipe du Festival et aussi par notre ciné-club qui depuis 1993 est accueilli à bras ouverts par Prune Engler et son équipe.
Merci beaucoup Prune.






FESTIVAL DE LA ROCHELLE 2017
UN BEAU FESTIVAL EN PERSPECTIVE;
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La 47e édition, qui aura lieu du vendredi 28 juin au dimanche 7 juFESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE LA ROCHELLE
illet 2019, propose une programmation riche et éclectique, du muet au cinéma d'aujourd'hui, de l'animation à la comédie populaire, en passant par le cinéma de genre et les classiques de l'Histoire du 7ème art. Une vraie fête du cinéma pendant 10 jours avec :
· La Marraine de cette 47e édition : Alexandra Stewart
· Hommages en leur présence à Dario Argento et Jean-François Laguionie
· Découverte du nouveau cinéma islandais : 12 films
· Cinéma muet : Victor Sjöström
· Rétrospectives : Arthur Penn (10 films), Kira Mouratova (6 films)
· Comédie de la mimique avec Louis de Funès (10 films) et Jim Carrey (6 films le 6 juillet)
· Une journée avec Charles Boyer
· Artistes d'Allemagne, portraits filmés : 4 documentaires
· D'hier à aujourd'hui : 20 films restaurés
· Ici et ailleurs : 40 longs métrages en avant-première
· Musique et Cinéma : Hommage à François de Roubaix, Concert de Fred Pallem & Le Sacre du Tympan le 29 juin à La Sirène, Création ciné-concert avec David Sztanke
· Et aussi des films pour les enfants (3 séances par jour), des soirées exceptionnelles, une séance en plein air, une exposition, etc.
Comme chaque année nous proposons de regrouper les demandes de cartes permanentes. Cette carte permet l’accès direct aux salles dans la limite des places disponibles.
Les cartes sont au tarif de 95€ (catalogue offert) mais notre cinéclub prend en charge 50% de cette somme, pour les adhérents)
Nous vous demandons donc de nous retourner le coupon réponse ci-après accompagné de votre règlement soit :47,50€ (et d’une photo d’identité pour une nouvelle inscription)
ATTENTION : RETOUR DE VOTRE DEMANDE AVANT LE 3 JUIN
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Cinéclub des Comités d’Etablissement L.C.L.
39 avenue de Paris 94800 VILLEJUIF
Immeuble Rhin BC 500 15
NOM : PRENOM :
DEMANDE A BENEFICIER DE LA CARTE PERMANENTE DU FESTIVAL DE LA ROCHELLE
CI-JOINT : CHEQUE DE € :47,50 A L’ORDRE DU CINECLUB DES CE DE LCL
SI VOUS N’ETES PAS VENU L’ANNEE DERNIERE
JOINDRE UNE PHOTO D’IDENTITE
Chères amies, chers amis,
La 47e édition du Festival La Rochelle Cinéma se prépare.
L’affiche, peinte depuis 29 ans par Stanislas Bouvier, ici dévoilée, s’inspire très librement de « Little Big Man », qui sera projeté dans le cadre de notre rétrospective Arthur Penn.
Les films de notre programmation muette, consacrée à Victor Sjöström, seront accompagnés par le pianiste Jacques Cambra.
Le festival mettra à l’honneur une grande cinéaste ukrainienne, Kira Mouratova, méconnue en France et disparue en juin dernier.
Comme annoncé en janvier, nous célébrerons la comédie de la mimique avec Louis de Funès, en 10 films et une table-ronde en compagnie de Serge Korber, Mylène Demongeot, Alain Kruger et Jean-Baptiste Thoret, et avec Jim Carrey, en 6 films, tous programmés le samedi 6 juillet.
Jean-Baptiste Thoret et Patrick Cazals finalisent leurs documentaires respectifs sur Dario Argento et Charles Boyer, auxquels nous rendrons hommage.
Jean-François Laguionie prépare une riche exposition sur la préparation de son premier film « Gwen, le livre de sable » qui se tiendra tout l’été à la médiathèque Michel Crépeau.
Une découverte du nouveau cinéma islandais vous fera voyager sur cette île où une nouvelle génération de cinéastes aborde avec humour et légèreté la vie de petites communautés, les relations familiales ou de voisinage, sous le regard de chevaux, moutons ou béliers !
Les Portraits d’artistes seront l’occasion d’admirables rencontres avec les allemands Joseph Beuys, Eva Hesse, Anselm Kiefer et Gerhard Richter.
Du côté de la musique, David Sztanke a choisi d’accompagner un épisode de la série documentaire de Louis Malle « L’Inde fantôme » et La Sirène accueillera un concert de Fred Pallem & le Sacre du Tympan le samedi 29 juin en hommage à François de Roubaix, auquel Stéphane Lerouge consacrera une leçon de musique le dimanche 30 juin.
Enfin, la section « d’hier à aujourd’hui » nous fait de belles promesses avec les films restaurés de Frank Borzage, Kenji Mizoguchi, Mikhaïl Kalatozov, Andrzej Wajda, Fritz Lang, Marco Ferreri, Stanley Kubrick, Jean-Luc Godard, Béla Tarr et bien d’autres...
À très bientôt.
Bien amicalement,
L’équipe du Festival

Pierre C. Durand livre ses commentaires sur le Festival.
Très bon festival. j'ai vu plus de trente films et j'ai eu la joie de revoir certains chefs d'oeuvre mais aussi des films de nouveaux réalisateurs bourrés de talents.
Je vais écrire tout au long de cette semaine.
Une fois encore merci aux organisateurs et organisatrices dont Prune, Sylvie et Sophie principales intervenantes de ce beau festival. Normalement vous aurez régulièrement sur cette page des nouvelles de ce Festival. A BIENTOT
Pierre Durand

Avant, l'orchestre d'harmonie de La Rochelle nous a interprété quelques morceaux de musique de film dont "Goldfinger" car peut-être que James Bond était dans la salle ?

LE FILM D'OUVERTURE "BARBARA"
J'adore la chanteuse "Barbara". J'aime la chanteuse jeanne Balibar mais je suis plus réservé quant au film réalisé par son ex, Mathieu Amalric.
Ce qui m'a plu, ce sont les extraits de la grande chanteuse Barbara dans ce film. Ce qui m'a déplu, ce sont les plans, le jeu des acteurs.
Non ce n'est pas un film que je recommanderai.
Désolé.
PCD
Samedi 1er juillet
Révolution école,1918-1939, un documentaire de Joanna Grudzinska.
Une belle réflexion sur l'école différente, une école où l'on pourrait enseigner différemment. A VOIR.
UNE FEMME DISPARAIT. un très bon film d'Hitchcock GB de 1937. L'un des premiers de ces films que j'ai vu, diffusés dans ce festival. film en noir et blanc, à voir consommer sans modération.

En avant première et présenté par le réalisateur, "RETOUR A MONTAUK", film de VOLKER SCHLONDORFF. Ce film a été méticuleusement façonné, un petit chef d'oeuvre.
Dimanche 2 juillet

UN BEAU SOLEIL INTERIEUR, film de Claire Denis ne peut laisser indifférent. Nous avons Juliette Binoche qui joue avec sobriété mais avec conviction un rôle de femme qui recherche l'amour, le vrai. Un dialogue entre Gérard Depardieu en mage un peu déjanté et Juliette Binoche sera truculent; A VOIR
Le TAMBOUR de Volker Schlomdorff est un film que nous avions passé dans notre ciné-club dans les années 80. Ce réalisateur était très célèbre dans tous les ciné-clubs et pour cause. Un bon cinéma et une réalisation soignée de ses films ont permis à tous les cinéphiles d'apprécier son oeuvre.
LE RING Un film muet d'Alfred Hitchkock, Je ne connaissais pas les films muets de ce grand réalisateur et ce sont vraiment de belles pépites. A découvrir.
L'ENFANCE D'IVAN de Tarkovski. Un cinéma très dure, soigné dans le moindre détail. Une performance. A voir.
Lundi 3 juillet

HOMMAGE A JEAN GABIN
UN FRANCAIS NOMME GABIN DE Yves Jeuland et de François Aymé. Documentaire sur cet acteur incontournable du cinéma Français.
Bien réalisé à voir.
GUEULE D'AMOUR de Jean Grémillon. Un chef d'oeuvre.
FRENCH CANCAN DE Jean Renoir. Idem
LES ENCHAINES D'Alfred Hitchcock, histoire de revoir la belle Graec Kelly
Mardi 4 Juillet

POST PARTUM, un documentaire israélien sur les maternités de Silvina Landsmann. Bof, je n'ai pas apprécié
LES AMANTS DU CAPRICORNE. Un grand film d'Alfred Hitchcock.
PETIT PAYSAN d'un jeune réalisateur d'Hubert Charuel. Très belle réalisation, un film sur la vérité du monde agricole et ses carcans administratifs. A voir. Devait sortir fin août.
mercredi 5 juillet

NOTRE PAIN QUOTIDIEN DE King Vidor; Un beau film sur la crise de 1929 au USA. A VOIR
MOUNTAIN film Israélien de Yaelle Kayam. j'ai apprécié ce film dont l'intrigue se passe au cimetière du Mont des Oliviers à Jérusalem. A voir.
DE LA TERRE SUR LA LANGUE Film Colombien de Ruben Mendoza. Alors là ce n'est pas ma tasse de thé. Ce genre de cinéma pour moi est vulgaire. Un grand BOF;
jeudi 6 juillet

LE FILM DE BAZIN. Cet ancien critique des cahiers du cinéma voulait réaliser un court métrage sur les églises romanes du pays Saintongeais. Il n'a pu réaliser ce rêve car il est décédé en 1958 à l'âge de 40 ans.
Ce film a été repris et achevé par Pierre Hébert. Uniquement pour cinéphile pur et dur.
CINQ CAMERAS BRISES Film israélien d'Emad Burnat. Ce film est très beau et juste sur l'implantation des colonies Israéliennes et l'expropriation de palestiniens de leur village.
LES 39 MARCHES D'Alfred Hitchcock. Du beau film à suspense, rien à dire. Avoir.
LE ROI DES AULNES De Volker Schlomdorff. Un de ses plus beaux films sur la capacité à endoctriner les enfants. Sublime ! A VOIR.
Vendredi 7 juillet

LE SACRIFICE DE Andreï Tarkovski. Ce cinéaste est impeccable dans sa façon de filmer mais dur dans la composition de ses personnages. A voir mais âmes sensibles s'abstenir/
LAUREL ET HARDY présenté par Serge Bromberg. Rien à dire du cinéma burlesque pour petits et grands. Imaginez une salle de 1000 personnes rire aux éclats. Evidemment Serge Bromberg nous fait son numéro de bobine inflammable à brûler pour expliquer la disparition de milliers de films mais il n'y a pas que les incendies hélas mais aussi la stupidité de certains dirigeants de studio holliwoodien.
.
Samedi 8 juillet

SIX PORTRAITS XXL D'Alain Cavalier. Du cinéma intimiste.Bof
L'OMBRE D'UN DOUTE D'Alfred Hitchcock. Un de mes préférés, le roi du suspens nous entraîne dans une affaire familiale scabreuse. A voir.
Jean Douchet, critique de cinéma est venu nous apporter quelques lumières sur ce film. Je suis parti au bout de vingt minutes. Je ne ferai pas de commentaires supplémentaires.
LAUREL ET HARDY 2ème partie. les trois courts métrages proposés sont de loin les meilleurs vus dans ce festival.
LAST ACTION HERO DE John MC Tiernan. Un très bon Swarzie. Revu avec plaisir
Dimanche 9 juillet

FLORIS Documentaire Rwandais de Kalimunda bien amené discrétement sur le génocide 20 ans après. Maintenant, c'et l'heure des commémorations, des fleurs sur les tombes des victimes. Le film montre une fleuriste et ses petits tracas quotidiens. A voir.
LAUREL ET HARDY 3ème partie moins intéressante que les deux précédentes.
FRENZY Un grand film d'Hitchcock REVU avec plaisir.
FIN DU FESTIVAL 2017

Un grand merci aux organisateurs et organisatrices de ce festival qui tous les ans nous comblent dans nos désirs de cinéphiles.
Merci à Prune, Sophie et Sylvie qui ont été omniprésentes tout au long de ces 10 jours.
FESTIVAL DE LA ROCHELLE 2016

FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE LA ROCHELLE
Pendant 6 jours, j’ai vu 18 films. Sur les 200 films proposés, c’est peu me direz-vous mais j’ai mes yeux qui fatiguent vite et pour moi, c’est beaucoup.
Le film d’ouverture du Festival a marqué nos esprits. Ken Loach dans la réalisation de son dernier film, « Moi Daniel Black » a soulevé les lourdeurs administratives des institutions dites sociales.
Du bon cinéma et bien filmé, Ken Loach nous habitue à une excellente qualité de réalisation.
Le 2 juillet 2016
Nous avons élu domicile un appart hôtel « Pierre et vacances », bon plan car situé proche de tous les commerces et des cinémas. (15 minutes à pieds seulement). Cette chaine propose des studios confortables pour 4 personnes mais il vaut mieux être deux car autrement nous serions un peu à l’étroit.
Nous commençons notre journée par un film turque en avant-première. « Album de famille » réalisé par Mehmet Can Mertoglu. L’adoption d’un enfant en Turquie. Beaucoup d’humour dans ce film où la encore l’administration tatillonne est montrée du doigt. A voir
Puis un film de Jean Vigo, en présence de sa fille, Luce Vigo, vieille dame pleine d’humour. Nous avons revu avec beaucoup de plaisir « L’Atalante », film où nous avons un Michel Simon qui explose à l’écran. Les seconds rôles (Jean Dasté, Dita Parlo, Gilles Margaritis) sont présents dans cette fresque.
Pour clôturer cette journée, nous avons appréciés un bon Alberto Sordi, « Le Vigile » de Luigi Zampa, l’humour Italien rappelle les films de Don Camillo, un humour populaire, des histoires simples, les cocktails scénarios humoristiques/acteurs vedettes, seront monnaies courantes dans les années 1960/1970.
Fin de cette première journée avec cependant un petit détour que nous avons effectué, chez Ernest le glacier situé face à la Coursive.
Suite au prochain numéro.
Le dimanche 3 juillet 2016.
Petit oubli mais d’importance. J’ai oublié de parler de l’Orchestre d’Harmonie de la ville de La Rochelle qui nous ont
Petite promenade sur le port avant d’affronter les salles obscures pour notre grand plaisir.
SPARROWS. Film islandais de Rùnar Rùnarsson. La foule se pressait pour aller voir se film en avant-première.
Un adolescent est déraciné de la capitale pour aller vivre à la campagne chez son père et sa grand-mère. Belle histoire bien filmé avec les paysages superbes de la campagne islandaise. Une randonnée pédestre de 15 jours en 1987 m’avait permis de fouler le sol islandais. Le dépaysement était au rendez-vous. Le film aussi. A voir.
LE MAITRE DU LOGIS de Carl th. Dreyer. Un film muet de 1925, restauré et accompagné au piano par Jacques Cambra. Ce film retrace l’histoire d’un homme tyrannique avec sa famille et ses proches. Son épouse épuisée quitte le domicile et c’est alors que le maître du logis réalise qu’il a une mauvaise conduite. Il fait alors un retour en arrière. Ce film est merveilleux et on le suit jusqu’au bout sans ennui. A voir ou à revoir.
PS Nous avions organisé dans notre ciné-club un week-end complet sur Carl TH Dreyer. C’est dire l’importance que nous attachions à ce réalisateur.
Cleo de 5 a 7 ; Ah ! jubilatoire… revoir ce film de 1961. Corinne Marchand est à la fois émouvante et légère dans ce rôle de présumé malade. Une apparition de Michel Legrand, jeune mais aussi talentueux que de nos jours nous a ravis, ah ce grand musicien ! ( nous l’avions vu dans une église d’un village de Bourgogne, lui et son piano ne faisant qu’un)
Nous avons ressenti une joie immense lorsqu’il a accompagné sur la scène de la Coursive Agnès Varda (mémoire de leur passé puis chant), un grand moment dans ce Festival.
LE ROI DE L’EVASION Film d’Alain Guiraudie.
Bon allez c’est amusant mais sans plus.
Et puis après il est l’heure de dormir, bonne nuit les petits et je descends de mon échelle…. Vous connaissez tous la suite !
Suite au prochain numéro
Lundi 4 juillet
Séparation entre ma compagne et moi, nous décidons de voir chacun des films en fonction de nos envies et de nos goûts.
LES COLLECTIONS DE MITHAT BEY de Pelin Esmer, film turque sur les problèmes des quartiers en cours de rénovation, les expropriations et le déracinement des personnes âgées. Film à la réalisation simple mais efficace. A voir.
LE MYSTERE VON BÜLOW de Barbet Schroeder. Réalisation soignée d’un grand cinéaste qui nous amène aux cadrages minutieux, aux scénarios ciselés, un must qu’il faut revoir ou voir.
LA FIN DU JOUR de Julien Duvivier. Deux comédiens crèvent l’écran ; il s’agit de Louis Jouvet et de Michel Simon. Grandiose ! ah ce Jouvet avec sa diction claire et puissante, son regard profond ne laisse pas indifférent Le truculent Michel Simon lui donne la réplique et c’est rien que du bonheur.
A voir absolument
Repos après car mes yeux ne supportent pas les écrans plus de quelques heures par jour. C’est déjà bien.
Suite au prochain numéro
MARDI 5 Juillet 2016
Deux films pour ce qui me concerne (car mes yeux me piquent) et une sortie dans une tour de La Rochelle, « La Lanterne » pour visiter l’exposition des films de Carl TH Dreyer
MAFIOSO de Alberto Lattuada avec Alberto Sordi.
Du grand cinéma Italien sur un sujet qui « fâche », la mafia. Abordé avec beaucoup d’humour ce film retrace la vie d’un cadre d’origine sicilienne venant rendre visite à sa famille. Il sera vite pris dans l’engrenage de la pieuvre mafieuse.
A voir ou revoir.
LE POIDS DU DESHONNEUR De Barbet Schroeder. Encore un film sur les méandres de la justice américaine. Rien à dire, du beau cinéma. Je dois dire que dès que je suis rentré chez moi, j’ai commandé à la FNAC 4 films de Barbet Schroeder dont More, La vallée, Maîtresse avec la sublime Bulle Ogier et Amnésia film récent.
L’après-midi a été consacré à la visite de la Tour Célèbre « la Lanterne où se tenait l’exposition de Carl TH Dreyer. Belles photos dans un cadre prestigieux.
Je reprendrais une phrase célèbre d’un de mes descendants, le corsaire Pierre Durand qui aurait bouté les anglais hors de La Rochelle et qui aurait dit « Ah ça ira, ça ira, les Anglais à la lanterne, ah ça ira, ça ira les anglais on les pendra ! cent ans après, un pur plagiaire repris la chanson à la révolution Française de mon ancêtre et remplaça le mot anglais par celui d’aristocrate. Peuh !
Petit repas pris à l’appart-hôtel car le matin nous avions acheté du très bon poisson au marché avec des crevettes roses bio de Madagascar, langoustines hum d’une rare fraicheur. Rien que du très bon car marre des restaurants qui vous font croire qu’ils se servent chez les petits pêcheurs du coin et lorsque vous voyez leurs poubelles au fond des cours, vous avez des emballages made in Espagne, poissons d’élevage ! Un peu comme à Lyon avec certains bouchons aux devantures rutilantes mais à l’arrière cuisine il faut avoir le cœur bien accroché. Nous vivons maintenant dans un monde de mensonges et d’arnaques à tous les niveaux. Misère !
Suite au prochain numéro
Mercredi 6 juillet. Notre dernier jour de festival car ma compagne retravaille bientôt.
J’ai sélectionné trois films
LE PREMIER MASCULIN/FEMININ DE jean Luc Godard
Ce film, je l’ai vu trois fois depuis sa sortie.
La première fois dans le cinéma où mon oncle était gérant. Je devais avoir 14 ans et Jean Luc Godard m’ennuyait. C’était l’époque où l’action pour moi était importante avec des films de John Wayne, des péplums comme celui sur Ben Hur etc. Comme je ne payais pas souvent ma place, je me mettais dans un petit coin, dans les premiers rangs car j’étais très myope et je regardais presque tous les films qui passaient. Ma tante était la caissière et mon grand-père le contrôleur de billets mais aussi le videur. C’était un colosse qui avait travaillé dans le bâtiment mais aussi comme terrassier. Cet ancien brave, blessé deux fois à la guerre de 14/18 était redoutable et reconduisait manu militari les fauteurs de troubles dont les « blousons noirs » à la porte du cinéma.
Lorsque j’ai vu ce film, j’avais aussi un voisin, ingénieur indépendant de son état, qui ne cachait pas ses idées au vu de la photo d’un certain Adolf H affichée devant son bureau. A la libération, il a sauvé sa peau grâce à un cousin chef d’un réseau de résistants, qui lui est mort sous les balles des nazies lors de la délivrance de la ville d’Aulnay Sous Bois, aux côtés des forces alliées
Au bout d’une heure, ce voisin s’est levé de son siège et en sortant a crié son indignation sur ce film en parlant notamment de francs-maçons. A l’époque je n’étais pas bien au courant de toutes ses subtilités politiques et en relatant l’incident à la maison, j’ai demandé à mon père qui lui était maçon de son métier la signification du terme franc-maçon ? Bref l’explication m’a laissé de marbre et par la suite adolescent, j’ai évité de voir les films de JL Godard
La deuxième fois c’était au ciné-club de notre entreprise mais je n’aimais pas Godard, parti pris lié à mon camarade secrétaire du ciné-club car en tant que président, j’étais souvent son opposant sur les choix des films alors que nous nous entendions par ailleurs comme larrons en foire.
Enfin la troisième fois, en ce mercredi 6 juillet, j’ai apprécié ce film, la justesse du scénario et les différents cadrages sur Paris. Comme quoi….
LE FESTIVAL TOUTE L’ANNEE
TRES Bien, ces cinq courts métrages, et en les voyant, nous pouvons nous dire que certains jeunes iront loin dans l’écriture et la réalisation des films.
Enfin clôture pour moi avec le film « TOUR DE France » de Rachid Djaïdani en avant-première.
Ce cinéaste est prometteur et faire tourner Gérard Depardieu maintenant doit relever d’un tour de magie. Enfin bref, le résultat est réussi
A voir dès sa sortie en novembre dans les salles de vos cinémas préférés.
Voilà mon festival à moi est terminé, nous rentrons à la maison le jeudi 7 juillet, tiens jour anniversaire où le 7 juillet 1980, j’ai arrêté de fumer.
En tous les cas ce festival est merveilleux et pour tous les cinéphiles, c’est un véritable paradis !

Bonjour à tous.
Dans 3 semaines nous serons certainement dans une salle de cinéma à La Rochelle pour notre plus grand bonheur.
Ci-dessous vous trouverez un message de Prune Engler concernant notre rendez-vous annuel qui aura lieu
le vendredi 1er juillet à 17h, même lieu que l'année dernière.
J'attire votre attention sur la phrase que j'ai grossie et noircie concernant les cartes pass et les documents d'information.
Merci de respecter la demande de Prune et de ne pas chercher à vous les procurer avant la réunion.
Ceci ne concerne pas la grille du programme que vous trouverez sur les présentoirs de la Coursive.
Si certains parmi vous ne peuvent être à La Rochelle le vendredi soir prévenez-nous par retour de mail afin que nous récupérions
vos sacs et convenions d'un rendez-vous pour vous les remettre. Contactez nous si vous avez un souci.
Merci de votre attention et à très bientôt.

FESTIVAL DE LA ROCHELLE 2015

FESTIVAL DE LA ROCHELLE 2015 un bon cru (commentaires de Danielle et Henri)
Encore une édition (la 43ème) qui a tenu toutes ses promesses et engendré également des frustrations, car comment voir tous ces films proposés (235) sans en perdre le boire, le manger et le repos.
Parmi ceux que nous avons choisis notre préféré fut celui d’Heddy Honigmann :
Around the world in 50 concerts (Pays-Bas/Finlande/Suède/Australie), documentaire réalisé à l’occasion du 125ème anniversaire de l’Orchestre Royal de Concertgebouw (Pays-Bas), lors de 3 concerts donnés en tournée internationale.
Ce documentaire profondément humain, parfois drôle, très émouvant, est un bel hommage à la musique classique, aux musiciens et aux amoureux de la musique. Les séquences des concerts alliées aux témoignages de chacun apportent beaucoup d’émotion et d’espoir en l’Humanité.
Parmi les films inédits de la section « Ici et ailleurs » nous avons apprécié : Le bouton de nacre de Patricio Guzman (Espagne), Chorus de François Delisle (Québec, Canada), Le trésor de Corneliu Porumboiu (Roumanie) et Tsamo d’Anastasia Lapsui et Markku Lehmuskallio (Finlande).
Nous avons découvert des films de :
-Hou Hsiao-hsien : Le maître de marionnettes, Les garçons de Fengkuei et Three times
Ce cinéaste nous parle de l’histoire de Taiwan mais aussi du présent et de ses dures réalités
- Alexander Mackendrick (dont nous connaissions Whisky à gogo). Ses films : Maggie, Tueurs de dames et Cyclone à la Jamaïque sont réjouissants et parfois grinçants mais c’est une atmosphère oppressante qui domine dans Le grand chantage qui nous entraîne dans le Manhattan interlope des journaux, théâtres et clubs, faune mondaine faite de fauves et de brebis.
Beaucoup du Ciné-club ont apprécié les films du cinéma géorgien que nous avions découverts au Festival du film d’Arras.
Nous avons eu enfin le plaisir de revoir Y aura-t-il de la neige à Noël de Sandrine Veysset,
beau portrait de femme qui se bat afin d’adoucir la vie de ses 7 enfants en leur donnant tout son amour et sa tendresse.
Il est difficile d’évoquer tous les films que nous avons vus. Ici se retrouvent ceux qui nous ont le plus marqués.
MERCI A L’EQUIPE DU FESTIVAL DE NOUS AVOIR FAIT DECOUVRIR TOUS CES TRESORS, VIVEMENT 2016.
Henri et Danielle

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FESTIVAL DE LA ROCHELLE 2014
DU 27 JUIN AU 6 JUILLET 2014


EN CLIQUANT SUR LE LIEN BLEU CI-DESSOUS VOUS AVEZ LE SITE DU FESTIVAL.
GRILLE DU PROGRAMME DETAILLE A PARTIR DU 16 JUIN 2014
LA GRILLE DES PROGRAMMES DETAILLES EST SORTIE
Accueil | Festival
International du Film de la Rochelle
www.festival-larochelle.org/
A la fin du mois de juin, cette manifestation est
le rendez-vous de la cinéphilie autour d'hommages et de rétrospectives. Charente-Maritime (17), France.
CLIQUEZ AU DESSUS SUR LA PARTIE ROUGE "la grille horaire 2014 est disponible !!!

La 42ème édition aura lieu du vendredi 27 juin au lundi 7 juillet 2014 avec une grande rétrospective Howard Hawks,
des films muets soviétiques présentés en ciné-concert à l'occasion des 50 ans de la Cinémathèque de Toulouse,
!La 42ème édition aura lieu du vendredi 27 juin au lundi 7 juillet 2014 avec une grande rétrospective Howard Hawks,
des films muets soviétiques présentés en ciné-concert à l'occasion des 50 ans de la Cinémathèque de Toulouse,
des hommages à Hanna Schygulla et à Pippo Delbono, au cinéma d'animation tchèque... A suivre !

PREMIER COMPTE RENDU SUR LE 42EME FESTIVAL DU FILM INTERNATIONAL DE LA ROCHELLE
VU PAR PIERRE DURAND.
Bonjour,
Je me suis rendu à ce merveilleux festival du samedi 28 juin au mercredi 2 juillet. Plusieurs bonnes surprises m’attendaient.
L’âge d’or des films muets du cinéma soviétique.
L’hommage rendu à Bernadette Laffont
Les films d’howard Hawks
Quelque chefs d’œuvres d’Alain Resnais
Et les films de réalisateurs moins connus mais aussi appréciable.
Voyons en détail les films que j’ai vus.
SAMEDI 28 JUIN
D’abord j’ai commencé par un film muet soviétique « TROIS DANS UN SOUS SOL » d’Abram ROOM tourné en 1927. Il faut le voir pour le croire mais la censure à l’époque était pratiquement inexistante et cela a duré jusqu’en 1930 où un certain Joseph Staline a pris le pouvoir et a choisi de centraliser les productions cinématographiques avec des verrous. Au piano de cette séance cinéma musicale, il y avait Jacques Cambra, bien connu et apprécié par les festivaliers.
Puis une belle production d’howard hawks « LA CAPTIVE AUX YEUX CLAIRS » tourné en 1952 m’a ébloui par les tons de noirs et blancs rendant les paysages sublimes.
Au passage deux films que j’ai déjà vus mais qui méritent d’être soulignés dans cette journée.
« PAS SUR LA BOUCHE » d’Alain Resnais et « C’EST LE BOUQUET » de Jeanne LABRUNE
DIMANCHE 29 JUIN
Une leçon de musique de BRUNO FONTAINE animé par Stéphane LEROUGE et en présence de Jeanne LABRUNE
Et du réalisateur HAWKS, j’ai revu avec plaisir « L’IMPOSSIBLE MONSIEUR BEBE » et « UNE FILLE DANS CHAQUE PORT »
Et vint le soir tant attendu de revoir avec plaisir le film de Nelly KAPLAN « LA FIANCEE DU PIRATE »
Avec la regretté BERNADETTE LAFONT
LUNDI 30 JUIN
C’est une journée promenade avec la visualisation de deux films soviétiques seulement mais de qualité. Et puis un documentaire réussi sur Bernadette LAFONT , « BERNADETTE LAFONT EXACTEMENT » réalisé par André D LABARTHE, un de ses proches amis et voisins.
Tout d’abord un grand merci à la cinémathèque de TOULOUSE qui a su rénové ces chefs d’œuvre mais aussi la cinémathèque de Berlin qui a prété une copie neuve du « Cuirassé POTEMKINE » le chef d’œuvre D’EISENSTEIN, dont j’avais vu auparavant à deux reprises des copies usées. Ce film a été présenté par Madame Natacha LAURENT, directrice de la cinémathèque de Toulouse.
Et le second film « UN DEBRIS DE L’EMPIRE » de FRIEDRICH ERMLER.
MARDI 1er juillet
Pour la matinée je me suis délecté d’un film muet soviétique « LA FETE DE SAINT JORGEN » de YAKOV PROTAZANOV. A voir et à revoir avec son humour grinçant, ce film fait partie des plus drôles de sa génération.
« LA BELLE JEUNESSE » de Jaime Rosales. Un film qu’il faut voir pour son histoire hélas très contemporaine.
« L’AMOUR, C’EST GAI, L’AMOUR, C’EST TRISTE » de Jean Daniel POLLET, ce film a une odeur de fraicheur lié à Mai 1968, un je ne sais quoi d’immoral et ce pour notre plus grand bonheur.
MERCREDI 2 JUILLET
« LES RENDEZ VOUS DU DIABLE »,est un excellent documentaire d’HAROUN TAZIEFF accompagné musicalement par Orval Carlos Sibelius. Que du bonheur avec cette musique de fonds et il faut rendre hommage à la témérité d’Haroun Tazieff qui a pris quelques risques pour nous offrir de superbes images de volcans en irruption dans le monde entier. Haroun Tazieff était venu présenter son film « LAC DE FEU « le 20 mai 1960 à notre ciné club au cinéma « LE DAUPHIN » situé rue Lafayette.
Un repas commun avec tous les adhérents de notre ciné club a été organisé par nos amis responsables et il y avait une bonne ambiance au lieu dit « le jardin des canards ».
Retour au cinéma pour voir le « SERGENT YORK » d’Howard HAWKS. Ce film est intense en émotion et j’ai personnellement versé une petite larme.
Enfin le dernier film, « LA MARCHE A SUIVRE » de J FRANCOIS CASSY m’a laissé sur ma faim et sur le mot fin en ce qui me concerne.
Le lendemain matin retour dans ma campagne en me disant je reviendrais l’année prochaine
Adresse utile.
Cinémathèque de Toulouse — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Cinémathèque_de_Toulouse
La cinémathèque de Toulouse est une institution
fondée dans les années 1960 par Raymond Borde (1920-2004) et dédiée à la mémoire du cinéma . Elle est située ...
HANNA SCHYGULLA

HOWARD HAWKS

LE CUIRASSE POTEMKINE

La fiancée du pirate de Nelly Kaplan.(Hommage à Bernadette Lafont).

FESTIVAL DE LA ROCHELLE 2013


ON DISTINGUE CLAIREMENT AU 5ème RANG A GAUCHE, HENRI, DANIELLE, PHILIPPE, JEANNINE, PATRICK, EITAM,EDITH ET TOUS LES AUTRES !!!

LE COMPTE RENDU DU FESTIVAL 2013
Chers spectateurs, professionnels, partenaires,
Chers amis du Festival International du Film de La Rochelle,
Vous l’avez, comme nous, sans doute remarqué : tous les bilans envoyés en fin de festival par leurs organisateurs s’avèrent globalement positifs. Nous n’échapperons pas à la règle.
Mais si vous nous avez rejoints entre le 28 juin et le 8 juillet derniers, vous saurez que c’est vrai : la 41ème édition fut une réussite.
Voici quelques chiffres pour en attester :
Avec 80 225 entrées, le Festival réalise sa 3ème meilleure saison après 2012 et 2007.
392 séances ont été proposées aux festivaliers et les rencontres avec les cinéastes et musiciens en ont réuni 2 987.
Les cinéastes, acteurs et actrices, musiciens et musiciennes suivants étaient avec nous :
Kaveh Bakhtiari pour “L’Escale”, Tortsten Böttcher et Christine Ott pour une résidence musicale et des ciné-concerts, Serge Bozon pour “Tip Top”, Serge Bromberg et Jacques Cambra pour accompagner
les films de Max Linder, Valeria Bruni Tedeschi pour “Un Château en Italie” et un hommage, Dominique Cabrera pour “Ô heureux jours”, Benoît Chieux pour “Tante Hilda”, Amélie Compain et Jean Rubak
pour “Les Bouteilles à la mer” et “Joyeux microbes”, Denis Côté pour “Vic + Flo ont vu un ours”, Isabelle Czajka et Helena Noguerra pour “La Vie domestique”, Mahamat-Saleh Haroun et Souleymane
Démé pour “Grigris”, Arnaud des Pallières pour “Michael Kohlhaas”, Jérôme Deschamps pour “Soigne ton gauche” et “Jour de fête”, Andreas Dresen pour un hommage, Teboho Edkins pour “Gangster
Project”, Pelin Esmer pour “La Tour de guet”, Raphaël Etienne pour “Lazare”, Sarah Franco-Ferrer pour “Au pays des merveilles”, René Féret, Marie Féret et Frédéric Pierrot pour “Le Prochain
film”, Mira Fornay pour “My Dog Killer”, Pierre-Luc Granjon pour “La Grosse bête”, Jose Luis Guerin pour un hommage, Fernando Guzzoni pour “Carne de perro”, Heddy Honigmann pour un hommage, Kamal
K.M. pour “I.D.”, Andrew Kötting pour “Swandown”, Nicolas Lasnibat pour “Tout ce que tu ne peux pas laisser derrière toi”, Caroline Leaf pour un hommage, Sebastian Lelio pour "Gloria" et un
hommage, Justine Malle et Didier Bezace pour “Jeunesse”, Pia Marais pour “Layla”, Florence Miailhe pour un hommage, Sarah Miles pour “La Fille de Ryan”, Avi Mograbi pour “Dans un jardin je suis
entré”, Yolande Moreau pour “Henri”, Michel Piccoli pour lui-même, Sébastien Pilote pour “Le Démantèlement”, Katell Quillévéré pour “Suzanne”, Ivan Rabbiosi pour “Michel”, Jérémie Reichenbach
pour “Quand passe le train”, Djamila Sahraoui pour “Yema”, Georges Schwizgebel pour un hommage, Marie-Elsa Sgualdo pour “On ne peux pas tout faire en même temps...”, Tamara Stepanyan pour
“Embers”, Justine Triet pour “La Bataille de Solférino”, Jean Claude Vannier pour une rencontre musicale, Pascal-Alex Vincent pour “Mon quartier c’est...”, Shannon Walsh pour “Jeppe on a Friday”
et Rebecca Zlotowski pour “Grand Central”.
La merveilleuse redécouverte des nombreux films de Max Linder a créé l’occasion de ciné-concerts en tous genres : avec les lycéens musiciens de la Région Poitou-Charentes sous la
houlette de Christine Ott, ondiste célèbre
laquelle a également accompagné “Tabou” et “Nanouk l’Esquimau”, avec les élèves du Conservatoire de Musique de La Rochelle et leur professeur Sabrina Rivière, avec aussi un “Retour de Flamme”
concocté par son créateur, Serge Bromberg et, bien sûr, les brillantes improvisations quotidiennes de Jacques Cambra qui chaque année partage avec le public son amour pour les films muets du
Festival. Les French Cowboy & the One ont joué à La Sirène après la projection de “Panique au village” la musique qu’ils avaient composée pour lui et Jean
Claude Vannier a délivré à La Coursive quelques secrets de fabrication de ses musiques de
films.
De grands films récemment restaurés ont fait l’objet de soirées exceptionnelles ainsi que d’autres, en avant-première, qui étaient présentés par leurs auteurs.
La Nuit Blanche passée entièrement dans
des trains américains, polonais, indiens, italiens et lyonnais s’est terminée en beauté sur le vieux port autour d’un petit déjeuner partagé par des centaines de noctambules cinéphiles, fatigués
mais heureux.
Le Cinéma chilien a attisé la curiosité
de nombreux spectateurs et connu un très grand succès et les courts métrages de peinture animée, programmés avant les films, ont aussi joué leur rôle de découverte d’un aspect peu connu du cinéma
d’animation.
Billy Wilder a souvent affiché
complet, certains festivaliers n’étaient venus que pour lui !
Les enfants ont profité de leur mini-Festival puisque 3 séances, souvent complètes également, leur étaient réservées chaque
jour.
Et puis nous avons fêté le centenaire du cinéma indien avec des films emblématiques réalisés entre 1913 et 2013.
Les professionnels ont été particulièrement nombreux cette année à assister au Festival, entre les exploitants qui profitaient des multiples rendez-vous qui leur étaient destinés (ACOR, ADRC,
GNCR, Les Ailes du Désir) rattrapaient des films de Cannes ou prenaient de l’avance sur les sorties de la rentrée, les enseignants directement concernés par les 2 jours consacrés aux Pôles
d’éducation à l’image, les journalistes locaux et nationaux, les responsables de ciné-clubs, de festivals, de cinémathèques, les distributeurs et les producteurs de films... Tous se mêlaient au
public pour des séances animées par la ferveur du 7ème art.
Beaucoup de souvenirs sont rassemblés sur le site du Festival : photos, films des rencontres.
Le Festival doit son succès à son public bien sûr, mais aussi aux très nombreuxpartenaires, institutionnels et privés qui le soutiennent à l’année. Qu’ils soient tous, ici, remerciés.
Nous vous donnons rendez-vous en 2014, du vendredi 27 juin au lundi 7 juillet, pour notre 42ème édition et vous souhaitons, d’ici là, une très belle année cinématographique.
L'équipe du festival


Rendez-vous à La Rochelle du 28 juin au 8 juillet 2013

RETROSPECTIVES :
HOMMAGES en leur présence :
Maître de l'avant-garde espagnole qui oscille entre documentaire, fiction, essai et journal intime.
HEDDY HONIGMANN Pays-Bas
Grande documentariste qui, de Lima à Paris, recueille les témoignages plein d'espoir et de vie de bouleversants anonymes.
WILLIAM KENTRIDGE Afrique du Sud
Cinéaste d'animation exposé dans les plus grands musées, ses "dessins pour projection" reflètent à leur manière une Afrique du Sud violente et fascinante.
JERRY LEWIS USA
Enfin de retour sur le grand écran, pour notre plus grande joie, avec 6 films dont 4 réédités en salles cet été.
Le centenaire du cinéma indien.
JEAN-CLAUDE VANNIER, auteur, compositeur, arrangeur : rencontre musicale animée par Stéphane Lerouge
Retrouvez la liste des films ici
FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM
Créé en 1973, le Festival International du Film de La Rochelle a fêté ses 40 ans en 2012 avec la projection de 142 longs métrages, 61 courts métrages, tout cela présentés à 82 429 spectateurs au cours de 389 séances.
Le Festival International du Film de La Rochelle célèbrera sa 41ème édition du 28 juin au 7 juillet 2013.
http://www.festival-larochelle.org/
http://www.festival-larochelle.org/

Du 29 juin au 8 juillet 2012, le festival fête ses 40 ans.
HOMMAGES, en leur présence à ...
Anouk Aimée à travers 15 films qu’elle a illuminés de sa grâce dont, bien sûr, “Lola” de Jacques Demy et, en avant-première, un portrait réalisé par Dominique Besnehard
Agnès Varda, tous les films qu’elle a tournés depuis son dernier hommage au festival en 1998 et son exposition "Patatutopia"
Joao Canijo, un très grand cinéaste portugais trop mal connu en France dont le sublime "Sangue do meu Sangue" est encore inédit en France
Miguel Gomes, dont le dernier film "Tabou" a enchanté la Berlinale
Pierre-Luc Granjon, cinéaste français de délicieux films d’animation pour les enfants
Pema Tseden, premier cinéaste tibétain en République populaire de Chine.
Des RETROSPECTIVES
Du géant américain Raoul Walsh avec 20 films de "Régénération" (1915) à "La Charge la huitième brigade" (1964)
Des 10 longs métrages de Charlie Chaplin, “Charlot” pour ses millions d’intimes
De Benjamin Christensen, cinéaste danois incontournable de la période muette, en ciné-concerts
De Teuvo Tulio qui a mis en scène les plus beaux mélos finlandais des années 40 et 50
D'HIER A AUJOURD'HUI
5 films de John Cassavetes
3 films de Lina Wertmüller
Mario Ruspoli, documentariste méconnu
Les 60 ans de Positif avec des portraits de cinéastes
Une carte blanche à la Cinémathèque de Bologne
Des films réédités, des copies restaurées
ET AUSSI
Ici et ailleurs : une trentaine de films du monde entier présentés en avant-première
Des films pour les enfants : 2 séances chaque jour. Brochure à télécharger ici.
Une leçon de musique avec Francis Lai et Jean-Jacques Bernard, suivie d'un concert exceptionnel, le dimanche 1er juillet
2 séances en plein air, les vendredi 6 et dimanche 8 juillet
La nuit blanche avec Silvana Mangano, du 7 juillet (20h) au 8 juillet (8h)
Dernière minute
La liste des films est disponible ici.
Le programme des films pour enfants et l'affiche du festival sont téléchargeables ici.
Les formulaires d'accréditation 2012 sont disponibles, cliquez ci-dessous pour :
Commander une carte permanente
Réserver une carte permanente à tarif réduit
Réserver une carte 3 et 10 entrées à tarif réduit
Une demande d'accréditation professionnelle
Une demande d'accréditation accompagnants
Une demande d'accréditation presse
Le programme de 2011 est toujours consultable dans nos archives et en cliquant ici.
Réseaux sociaux
LE FESTIVAL DES FILMS DE LA ROCHELLE
Le Festival international du film de La Rochelle est un festival de cinéma, créé en 1973, qui se déroule chaque année pendant dix jours au début du mois de juillet. Il est organisé par l'Association du Festival International du Film de La Rochelle (FIF-LR).
Caractérisé par l'absence de compétition, le festival présente chaque année plusieurs rétrospectives consacrées à des réalisateurs ou des acteurs, en combinant le cinéma de patrimoine et les œuvres de cinéastes contemporains. Une section est également dédiée à la découverte d'auteurs encore peu connus.
En 2007, la 35e édition de ce festival a présenté 250 films qui ont été vus par 81 305 spectateurs, soit la plus grande affluence de l'histoire du festival.
Lien externe
DU 1ER AU 11 JUILLET (voir le lien ci dessus)
Si vous ne pouvez pas visualiser cet email, cliquez ici
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